Pourtant interrogée par plusieurs eurodéputés sur le fait de savoir si elle allait tenir son engagement d’il y a trois ans de renforcer les règles sur le bien-être des animaux d’élevage, la présidente de la Commission, Ursula von de Leyen, est restée muette sur le sujet, le 13 septembre à Strasbourg, à l’occasion de son discours sur l’état de l’Union.
Rien non plus dans la lettre d’intention qui présente les dernières propositions avant la fin du mandat de la Commission, à l’automne 2024. Ce silence semble accréditer la thèse...
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