«Il faudra s’habituer à vivre avec une énergie chère durant les 10 à 20 prochaines années»

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Voir l'offre d'abonnementLa classe politique vit une année fort active en Belgique : c’est le moins que l’on puisse dire ! Nous avons eu droit à trois élections en juin -fédérale, régionale, européenne- en attendant deux autres en octobre -communale et provinciale-. Tout ce beau monde est affairé depuis le printemps à séduire les électeurs, puis à mettre sur pied des gouvernements, dans le chef des gagnants. La Belgique est très complexe à gérer ; les diverses sagas nationales et régionales occupent la quasi-totalité de l’espace médiatique. Les cénacles de l’Union Européenne intéressent moins les journalistes, dirait-on…
Si en 2023 déjà, les populations de limaces s’étaient fortement développées dans les jardins, la situation est encore plus grave cette année. En effet, dans certains potagers, les pertes ont été totales avec l’anéantissement des jeunes plantations en quelques nuits. Certains jardiniers découragés ont même abandonné toute leur production, en gardant l’espoir de recommencer les semis et plantations l’an prochain.
La présidente de la commission Ursula von der Leyen a dévoilé, la semaine dernière, le casting de l’équipe qui l’entourera jusqu’en 2029, fin de son second mandat. Sa composition, hautement scrutée au sein de la bulle européenne, a été le fruit d’âpres négociations émaillées de quelques psychodrames dont l’Exécutif a le secret…
La culture de la pomme de terre fait face à de nombreux défis, dont celui de réduire le recours aux intrants. Dans ce contexte, la Fiwap et le Cra-w se sont alliés autour du projet Patat’Up qui, durant trois ans, a étudié les leviers sur lesquels intervenir tout en maintenant le rendement et la qualité. Cette dernière saison d’expérimentation a permis de conduire divers essais au champ, dont les premiers résultats viennent d’être présentés.
Plusieurs dizaines d’éleveurs ovins de la Fugea (Fédération unie de groupements d’éleveurs et d’agriculteurs) ont mené une action mercredi matin devant le siège du gouvernement wallon à Jambes pour attirer l’attention sur les dégâts causés par l’épidémie de fièvre catarrhale ovine (FCO) qui sévit depuis deux mois dans les élevages de ruminants wallons. Face à cette situation, les éleveurs réclament aux autorités des «actes forts».
Une alimentation durable ne doit pas uniquement être locale et équilibrée. Il faut qu’elle soit aussi rémunératrice pour les producteurs et accessible à tous. Concilier ces différentes dimensions, voilà la tâche et le défi posés par la cellule « Manger Demain » qui a récemment mis autour de la table différents acteurs de terrain, lesquels ont mis en lumière plusieurs projets inspirants pour y parvenir.
Les représentants des États membres de l’UE se sont mis d’accord pour rétrograder le statut de protection des loups, considéré comme « une menace croissante » pour l’élevage pastoral, le tourisme et les communautés rurales. Au grand dam d’organisations de défense de la nature.
L’Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité (Apaq-W) collabore désormais avec le Centre wallon de recherches agricoles (Cra-W) de Gembloux, qui développe actuellement des initiatives destinées à améliorer la durabilité de la filière laitière wallonne. Son outil bilan «DECiDE», permet ainsi d’évaluer objectivement l’impact environnemental et le bilan économique des exploitations agricoles.
C’est en Haute-Marne, sur le site de sa filiale française, que le constructeur allemand a dévoilé ses nouveautés pour l’année à venir. Un programme largement centré sur le travail du sol et les semis, avec du matériel dédié aux entrepreneurs, cultivateurs mais aussi polyculteurs-éleveurs.
Voici les lieux et dates d’organisation du contrôle des pulvérisateurs agricoles pour le mois de juin.
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