«Succès grandissant» pour le salon Valériane qui a accueilli près de 22.000 visiteurs
 
   
  










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Année après année, la filière bio wallonne ne cesse de se développer, comme en témoigne 2017. Une fois encore, le nombre d’exploitations et la SAU bio augmentent. Un cap vient d’ailleurs d’être franchi : un ha agricole wallon sur 10 est bio. Du côté de l’élevage, les chiffres sont aussi impressionnants, avec une croissance de près de 25 % du nombre d’animaux en un an à peine, grâce, notamment, aux filières poules pondeuses et caprine. En outre, le secteur porcin, longtemps en difficulté, se relève considérablement.

Ces derniers jours, plusieurs localités ont dû faire face à des inondations et des coulées de boue. Chaque année, sur l’ensemble de la Wallonie, en moyenne trois tonnes de terre par hectare s’érodent sous l’effet de la pluie. Les sols agricoles sont particulièrement touchés: près de 40% de la surface agricole subit des pertes de plus de cinq tonnes par hectare et par an, d’après les données du Service public de Wallonie (SPW) sur la base d’une modélisation.

Expopesten, la première étude à évaluer la présence de plusieurs pesticides dans l’air ambiant en Wallonie, a livré ses premiers résultats, annonce le ministère wallon de l’Environnement. Selon cette analyse qui a analysé sur un an 46 pesticides différents autour de 12 stations réparties sur le territoire wallon, ce sont essentiellement des herbicides et des fongicides qui ont été retrouvés.

Plus de 50% des espèces d’oiseaux les plus répandues de Wallonie sont en déclin, avertit l’association de défense de la Nature, Natagora, dans un rapport qui sera prochainement publié. «L’état des lieux de nos oiseaux les plus communs est loin d’être réjouissant», s’alarme l’organisation.

Les mesures proposées par le ministre wallon de l’Environnement, Carlo Di Antonio (cdH), afin de réduire l’impact des pesticides sur le territoire wallon ont été approuvées par le gouvernement wallon.







Le ministre fédéral de l’Agriculture, Denis Ducarme, est favorable à une interdiction à court terme de l’usage des néonicotinoïdes avec un phasing-out (sortie transitoire).

Une de ces plantes est-elle présente dans vos champs ?

Le Centre des technologies agronomiques (Cta) de Strée met à profit sa cinquantaine d’hectares et son troupeau d’une cinquantaine de vaches pour la formation d’étudiants et la recherche appliquée. Il y existe notamment un projet Life, nommé Dairyclim, qui étudie les possibilités d’une alimentation durable pour la vache laitière.

Au sein de chaque exploitation, il y a sans doute une ou plusieurs prairies humides ou sèches assez fleuries. Il arrive que l’agriculteur ne sache comment valoriser ces parcelles parfois moins productives, éloignées ou peu accessibles, mais pourtant riches en biodiversité.

L’urbanisation de nos paysages conduit à l’appauvrissement de la biodiversité, d’après les conclusions d’une étude menée par l’UCL, la KU Leuven, l’Université de Gand, l’Université d’Anvers et l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique.
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