Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementDans une étude parue dans la revue scientifique Nature, des chercheurs américains battent en brèche l'idée que la géo-ingénierie pourrait protéger les rendements agricoles des effets du changement climatique.
Dans le cadre du Plan Maya, mis en place depuis 2011 en Wallonie pour sauvegarder les populations d’abeilles, la Wallonie a dégagé un budget de plus de 200.000 €, dédié à la formation des apiculteurs.
Un rapport hispano-américain cible les émissions à effet de serre des 35 plus grandes entreprises mondiales de la viande et du lait. Il dénonce leur place prépondérante sur les marchés, qui conduirait à une surconsommation. A nuancer toutefois, vu l’imprécision des sources.
Un travail minimum du sol, une couverture maximale de celui-ci et une rotation des cultures adaptée. Ces principes fondent l’agriculture de conservation. Coup d’œil sur des exemples concrets.
Parmi les parcelles de votre exploitation, vous avez peut-être déclaré des « Prairies naturelles » – MB2 – (anciennement appelées « Fauches tardives ») comme méthodes agroenvironnementales et climatiques. Dans ce cas, Natagriwal rappelle que depuis le 16 juin, elles peuvent être exploitées.
Ce début d’été a vu l’apparition de nombreux nids de guêpes un peu partout en Belgique. Et pour cause, la météo particulièrement chaude et favorable à la reproduction des insectes a permis la prolifération de leurs prédateurs, dont les guêpes. Une bonne chose, selon un entomologiste de Natagora. Les guêpes permettent de réguler naturellement l’écosystème. Attention toutefois à ne pas confondre les guêpes et les abeilles, ces dernières étant une espèce protégée.
Sur proposition du ministre wallon de l’Agriculture, René Collin, le gouvernement wallon a entériné l’allongement de la période au cours de laquelle il est interdit pour les agriculteurs de tailler des haies et des arbres.
L’humanité aura consommé la totalité des ressources que la planète peut renouveler en un an et pollué plus que ce qu’elle ne peut absorber le 1er août prochain. Elle vivra donc «à crédit» sur les ressources naturelles des générations futures jusqu’au 31 décembre, selon les calculs de l’ONG Global Footprint Network, qui souligne que ce moment survient de plus en plus tôt chaque année.
À la suite des mauvaises conditions climatiques survenues en ce printemps, de nombreuses parcelles ont subi des accidents culturaux. En plus des pertes de rendement, le risque pour les terres concernées est d’engendrer des valeurs d’Azote Potentiellement Lessivable (APL) élevées.
Année après année, la filière bio wallonne ne cesse de se développer, comme en témoigne 2017. Une fois encore, le nombre d’exploitations et la SAU bio augmentent. Un cap vient d’ailleurs d’être franchi : un ha agricole wallon sur 10 est bio. Du côté de l’élevage, les chiffres sont aussi impressionnants, avec une croissance de près de 25 % du nombre d’animaux en un an à peine, grâce, notamment, aux filières poules pondeuses et caprine. En outre, le secteur porcin, longtemps en difficulté, se relève considérablement.
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