une 1ère initiative appelée à se pérenniser

La CWBC, ce vivier
L’événement est chapeauté par la Confédération Wallonie-Bruxelles du cheval, la coupole qui gère la filière en Région wallonne. Si celle si se compose de trois piliers – l’élevage, les utilisateurs, les métiers et formations –, elle tend à s’ouvrir sur d’autres domaines comme les nouvelles technologies. « Nombre d’opportunités existent pour étoffer la CWBC, ce vivier dans lequel Benoît Dallemagne, l’organisateur de l’événement, va pouvoir puiser en vue de peaufiner l’événement. Car le Week-end du cheval est appelé à perdurer ! », a expliqué Marc Pierson, président de ladite confédération.
Et si les pouvoirs publics marquent un intérêt à l’initiative, c’est parce que la filière wallonne compte notamment près de 118.400 équidés, 6.000 équivalents temps plein et un chiffre d’affaires de plus de 800 millions d’euros.
Cent lieux emblématiques
Par ailleurs, sa bonne collaboration avec Eugène Mathy, président de la Ligue équestre Wallonie-Bruxelles, et Pierre Arnould, du centre de Mont-le-Soie, dans le cadre des Brussels masters d’endurance, l'a conforté dans son idée.
« Nous nous sommes fixés pour objectif de faire découvrir 100 lieux « emblématiques », soit 20 par province, qui représentent l’ensemble de la filière et les ouvrir tant au public qu’à d’autres acteurs du monde équestre.
À la recherche de candidats
Et M. Dallemagne d’appeler les candidats à se manifester. : « Toute candidature peut être posée sur le site www.weekendducheval.be. »
Les organisateurs recontacteront par la suite les volontaires afin d’établir un programme cohérent.
