À la différence d’autres travaux comme ceux publiés par des chercheurs chinois début mars, les Britanniques ont travaillé sur un vaccin vectorisé, en insérant huit gènes du virus de la PPA dans un autre virus inoffensif (le vecteur). Celui-ci s’introduit dans les cellules des porcs, qui produisent les protéines codées et permettent au système immunitaire de « répondre rapidement à une infection de PPA ». Cette méthode a protégé les animaux « de maladies sévères », « bien que des signes cliniques de la maladie se soient développés ».
« C’est la première fois qu’un vaccin vectorisé a montré un effet protecteur contre la PPA », se félicite l’institut Pirbright dans son communiqué, tout en précisant que le vaccin n’est pas finalisé.
« Sans sacrifier la capacité à commercer »
