Parmi la nombreuse armée des bioagresseurs de nos arbres et arbustes fruitiers, les virus et les organismes apparentés n’ont été décrits et caractérisés que dans le courant du 20è siècle, après la mise au point des premiers microscopes électroniques en 1933.
Les viroses peuvent être graves ou bénignes, mais elles sont toujours préjudiciables. Les symptômes de différentes infections virales sur des plantes fruitières étaient bien connus. Par exemple, la mosaïque du pommier, le jaunissement des nervures du poirier ou le court-noué...
Article réservé aux abonnés
Accédez à l'intégralité du site et recevez Le Sillon Belge toutes les semaines
Déjà abonné au journal ?
Se connecter ou Activez votre accès numérique