Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLe Centre Pilote Pomme de terre en Wallonie (Fiwap – Carah) et le Landbouwcentrum aardappelen en Flandre PCA – Inagro) suivent la qualité en conservation dans une série de hangars de référence en Belgique. Voici les observations résultant des prélèvements réalisés début avril en Fontane.
Il est possible de faire pâturer ses animaux sur les prairies d’un confrère. Dans ce cas, un contrat de pâturage est obligatoire. Cette pratique équivaut à une exportation d’azote, et rentre donc en compte dans le calcul du taux de liaison au sol (LS). Encore peu connu, voici ce que vous devez savoir sur le contrat de pâturage.
Cette semaine, cuisinons avec la nature !
Dans la revue Athéna, nº 358 publiée par la Région wallonne, un passage, dans un article scientifique en page 42- « Les incendies générateurs de carbone » – m’a particulièrement choqué. L’article analysait l’impact sur le climat des incendies de forêts, savanes, fonte du permafrost, etc. Ce qui m’a révolté, c’est ce passage : « … L’idée de réduire la production de CO2 liée au trafic automobile est une option écologiquement défendable mais qui pèse peu dans ce contexte. Peut-on également rappeler que le méthane, massivement lié à l’élevage et gaz à effet de serre autrement plus puissant que le dioxyde de carbone, contribue à hauteur 14,3 % à l’émission de gaz à effet de serre (GES), soit autant que l’ensemble de la circulation automobile mondiale… ».
En Wallonie, nous avons chaque année 4 à 5 décès à la suite d’une attaque de taureau, sans compter les accidents graves. On entend encore trop souvent : « Mon taureau est méchant mais comme c’est un bon reproducteur, je le garde », ou encore « Mon taureau est gentil ». Quel taureau choisir pour améliorer sa sécurité ? Jusqu’à quel âge le garder ? Quels sont les signes qui doivent interpeller ? Quelles sont les conséquences d’un taureau méchant sur un troupeau ?
Les froments sont susceptibles d’être attaqués par des maladies cryptogamiques au niveau des racines (piétin-échaudage), des tiges (piétin-verse), des feuilles (rouilles, septoriose, oïdium) et des épis (septoriose, fusarioses). Elles peuvent altérer le rendement, soit de manière directe par la destruction des organes, soit de manière indirecte comme le piétin-verse qui affaiblit les tiges et favorise la verse. Certaines maladies peuvent également déprécier la qualité sanitaire de la récolte, comme les fusarioses qui produisent des mycotoxines pouvant se retrouver sur les grains.
Saisie par une initiative citoyenne lui demandant d’agir pour « sauver les abeilles », la commission estime avoir mis sur la table toutes les propositions législatives nécessaires. Reste aux États membres et au Parlement européen de les valider sans trop les dénaturer.
Amis agriculteurs, vous avez déjà vécu ce genre d’expérience, fatalement. Un jour ou l’autre, c’est arrivé près de chez vous, chez des connaissances, à la salle du village ou dans la famille, à l’occasion d’une fête, d’une journée spéciale : communion, mariage, baptême, enterrement, Nouvel-An, kermesse, anniversaire…
Dans son message du 4 avril, l’Insitut royal pour l’amélioration de la betterave (Irbab) attire l’attention des planteurs quant au fait qu’il reste des betteraves, non livrées lors du chargement, au bord des parcelles.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement