Accueil La Une

La Une

La Une

L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

Abonnez-vous

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles

Voir l'offre d'abonnement

La mortalité des abeilles belges augmente pour la deuxième année consécutive!

À l’occasion de la journée mondiale des abeilles, ce 20 mai, l’Afsca rappelle que ces insectes sont en danger. En effet, près d’un tiers des abeilles (27,2 %) n’a pas survécu l’année dernière, contre 21,8 % au cours de la période précédente, selon une enquête menée auprès des apiculteurs belges entre l’automne 2022 et l’été 2023. En cause : le varroa mais aussi la loque européenne.

L’importance de respecter le sol et de savoir patienter en prévision de l’année prochaine

Les cultures maraîchères sont très sensibles aux défauts du sol. Il est donc important d’orienter les travaux aratoires pour assurer aux plantes le meilleur développement possible des racines. Si les quelques jours de cette première décade de mai, moins pluvieux, ont permis de les réaliser, dans de nombreuses régions, les sols sont à peine ressuyés. La terre s’y travaille très mal, reste compacte et froide. Sur ces sites et chaque fois que c’est possible, il est préférable d’attendre avant d’intervenir au risque de dégrader la structure pour de nombreux mois.

Benoît Lutgen : «L’Europe doit être une chance pour tous»

Retrouver l’autonomie de l’UE dans les secteurs stratégiques que sont la santé, l’énergie, la défense, le numérique mais aussi et surtout l’alimentation, tel a été le sens de l’engagement européen de Benoît Lutgen qui quittera le parlement au terme de cette législature dont il a accepté de revisiter les moments clefs lors de la dernière session plénière à Strasbourg.

Le choix des lecteurs

La Cour constitutionnelle épingle à nouveau le décret wallon sur les baux à ferme

La Cour constitutionnelle a à nouveau épinglé, jeudi, le décret wallon de 2019 sur les baux à ferme. Dans son collimateur, cette fois: le fait que le preneur d’un bail à ferme oral conclu avant la réforme ne puisse pas en demander la rédaction forcée, ce qui l’expose au risque qu’il soit mis fin à son bail en cas de vente de la terre. Une disposition discriminatoire, estime la juridiction.