Contre les vivaces: des solutions efficaces mais pas de réelles nouveautés

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementAu total, 98 variétés de maïs fourrage – 49 très précoces à précoces et 49 demi-précoces à tardives – ont été testées l’an dernier dans le cadre d’un réseau expérimental dit de base désormais baptisé Varmabel, coordonné par le Centre indépendant de promotion fourragère et comprenant outre ledit Cipf, le Lcv (Flandre), le Cpl-Vegemar (Liège) et le Carah (Hainaut). En voici les résultats et les recommandations.
Cette saison culturale restera dans la mémoire des maïsiculteurs comme dépourvue de difficultés majeures malgré la sécheresse printanière, et pourvoyeuse de bons rendements sur les plans quantitatif et qualitatif.
Les températures exceptionnellement douces de la période du 13 au 20 octobre ont permis une importante baisse des teneurs en humidité du grain.
Des scientifiques américains ont réussi à modifier génétiquement du maïs pour qu’il produise un acide aminé contenu dans la viande, ce qui pourrait augmenter sa valeur nutritive.
La deuxième semaine d’octobre n’a pas été idéale pour la maturation des épis… avant le gros coup de chaud du week-end dernier!
Les conditions climatiques de la dernière semaine ont permis un progrès des taux de matière sèche du maïs ensilage de seulement 1 à 2 % en Ardenne.
Les taux de matière sèche du maïs ensilage n’ont progressé que de 1 à 2 % lors de la dernière semaine. Les conditions météorologiques automnales ont bien ralenti la progression de la maturité partout en Wallonie.
Les conditions climatiques de la semaine dernière ont permis d’atteindre de bonnes progressions des taux de matière sèche du maïs ensilage de l’ordre de 2 à 3 % partout en Wallonie (sauf Ardenne).
Depuis trois ans, le Centre indépendant de promotion fourragère (Cipf) mène des essais de sous-semis de graminées en culture de maïs avec plusieurs objectifs, dont la réduction de l’érosion des terres agricoles. Si la technique était déjà connue, l’arrivée sur le marché de nouveaux semoirs faciliterait sa mise en œuvre. Reste toutefois à convaincre les maïsiculteurs, une tâche à laquelle s’attelle Gilles Manssens, ingénieur agronome auprès dudit Centre.
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