«Soutenir les producteurs, et non importer», plaide la Cepm

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Voir l'offre d'abonnementLes organismes actifs au sein du Centre pilote maïs ont remis en place un réseau d’avertissement avec un suivi de parcelles réparties sur 12 dans les différentes régions. Les observations feront l’objet de communiqués.
La Cepm a tenu à Bruxelles le 5 juin, le premier Congrès européen du maïs, symbole de l’attachement des maïsiculteurs au projet européen.
Mort de plantule, retard de croissance ou encore perte de rendement… La présence d’insectes sur une parcelle de maïs n’est pas sans conséquence pour la culture en place. Heureusement, des solutions – préventives ou curatives – existent pour maîtriser leurs attaques, lorsque cela s’avère nécessaire.
Depuis septembre 2015, lorsqu’un produit provoque des effets néfastes sur les plantes non ciblées (NPP) et arthropodes/insectes non ciblés (NTA), l’utilisation de jets anti-dérive est obligatoire afin de réduire la dérive autant qu’il est nécessaire.
Liseron des haies, chiendent, agrostis stolonière, repousse de pomme de terre et chicorée witloof, souchet commestible… autant de situations qui réquièrent une stratégie de lutte adéquate.
Préémergence, dicotylées annuelles, graminées estivales, vivaces…, le Centre indépendant de promotion fourragère indique la marche à suivre pour maîtriser les adventices. Des recommandations basées sur une expertise éprouvée.
Le désherbage des parcelles de maïs n’a pas toujours été aussi parfait qu’espéré, au printemps 2017. Les conditions climatiques ont pesé dans la balance. Pour ce printemps, la lutte contre les mauvaises herbes compte de nouveaux « outils ».
Le ministère américain de l’Agriculture a revu à la hausse les stocks mondiaux de blé, compromettant tout espoir de soutien des cours de cette commodité pour laquelle la Russie affirme plus que jamais sa suprématie à l’export.
Bien que connu depuis plusieurs années, le sous-semis d’un couvert en culture de maïs ne s’est jamais imposé comme un incontournable auprès des cultivateurs. Toutefois, l’arrivée de nouveaux semoirs, permettant l’implantation du couvert et du maïs en un seul passage, devrait changer la donne. Mais quelles espèces privilégier ? Avec quel impact sur les rendements en ensilage et grain ? Pour y répondre, le Cipf a mis la technique à l’épreuve du terrain.
Sur base des résultats d’essais menés en 2015, 2016 et 2017 pour six variétés et en 2016 et 2017 pour quatre autres, un total de dix nouvelles variétés de maïs ensilage ont été admises au Catalogue national belge des variétés.
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