Une trentaine de moutons victimes d’attaques de loup en région jalhaytoise











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En matière d’élevage ovin, la Belgique fait figure de petit poucet par rapport aux autres pays européens. Notre taux d’autosuffisance n’atteint que 15 à 20 % ce qui, en théorie, laisse entrevoir de belles perspectives de croissance, notamment financière, aux éleveurs. En effet, si l’offre est inférieure à la demande, les prix doivent grimper. La réalité est cependant tout autre, car les frontières de la Belgique, et plus largement de l’Europe, sont ouvertes aux importations.

La technologie des capteurs gagne en importance dans les diverses branches de la médecine vétérinaire. Pour les bovins, divers capteurs sont déjà disponibles sur le marché pour, entre autres, la détection des chaleurs, l’analyse du lait et sous forme de détecteurs de naissance. Dans le secteur de la chèvre laitière, de tels dispositifs n’existent pas encore.


Depuis quelques semaines, un nombre croissant d’animaux infectés par le sérotype 8 du virus de la fièvre catarrhale du mouton (BTV8) a été signalé en France, principalement dans l’extrême sud-ouest du pays.

L’« année du mouton » dans un élevage ovin classique s’étend de septembre à août. Il est donc impératif de s’atteler dès août aux préparatifs nécessaires afin d’assurer la prochaine saison de production.







Vous les avez peut-être aperçus l’automne dernier, des moutons broutaient des couverts d’interculture à plusieurs endroits en Wallonie. C’est une façon de transformer la contrainte de couverture du sol en une opportunité, celle de valoriser facilement le couvert en fourrage, même si l’on ne possède pas d’animaux, tout en préservant l’environnement et la qualité des eaux souterraines ! Mais quelles sont les modalités et est-ce une bonne idée ?

Covid-19 ou pas, les agneaux s’en donnent à cœur joie dans les étables de la ferme Sint-Annahof. Élevés par Guido Steegmans, Martine Pot et leur fille, Lissy, ils sont commercialisés en circuit court dans leur magasin et auprès de chefs cuisiner limbourgeois. Toutefois, la situation n’est pas si simple pour les éleveurs, qui peinent à développer leur chiffre d’affaires malgré un retour des consommateurs vers une alimentation durable et locale.

Le Service public de Wallonie, direction Agriculture, Ressources naturelles et Environnement, a exécuté le lundi 9 mars le paiement de la première tranche (95 %) du soutien couplé aux ovins 2019.


La réduction du taux de protéines en poulets de chair et en production porcine est une voie pour accroître l’autonomie protéique dans nos élevages. Nadia Everaert, professeur à Ulg Gembloux Agro-Bio Tech, a présenté les résultats de divers essais lors de la 19e journée d’étude des productions porcines et avicoles à Namur.
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