La fièvre catarrhale pourrait faire flamber le prix de la viande d’agneau

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Voir l'offre d'abonnementLes moutons étaient les stars du ring d’Agribex, ce vendredi 8 décembre. Après les concours du matin, c’est les Ovinpiades qui ont attiré tous les regards durant l’après-midi. 54 étudiants, 15 du nord et 39 du sud du pays, se sont défiés au cours de différentes épreuves pour tenter de remporter le titre du meilleur berger et de la meilleure bergère.
Avec 5 fois plus de
moutons que d’habitants, la Nouvelle-Zélande est le pays moutonnier par excellence. Comment s’y organise la production ? Quels sont les avantages et les inconvénients de sa viande ovine ? Retour sur une présentation de l’Institut de l’élevage au sujet de cet acteur incontournable au niveau mondial, fournisseur de plus de viande ovine en Belgique que notre marché local.
La confirmation du premier cas d’infection au virus de la maladie de la langue bleue sous son sérotype 3 (BTV-3) en octobre dans un troupeau ovin belge localisé en province d’Anvers a fait resurgir les craintes d’une vague épidémique sans précédent à l’image de celle connue en 2006 lors du déploiement du sérotype 8 (BTV-8). Il faut dire que notre territoire national, et plus globalement celui de l’Europe occidentale, a connu les deux dernières décennies plusieurs épisodes épidémiques majeurs.
Comment aménager sa bergerie de manière optimale ? Quels sont les éléments à prendre à compte ? Comment s’assurer du confort des animaux ? C’est à ces différentes questions qu’a répondu François Claine, vétérinaire et membre de l’Arsia, lors du forum des éleveurs. Une conférence sur le terrain puisque la bergerie de la Houlette, à Sart-Dames-Avelines, a ouvert ses portes pour l’occasion.
Dans le cadre du Plan de relance de la Wallonie, le Collège des Producteurs soutient des projets d’installation ou de développement de troupeaux ovins, à travers un appel à candidatures.
Les ministres de l’Agriculture des Pays-Bas, de l’Allemagne et de la Belgique, trois pays dont le cheptel est touché par la fièvre catarrhale (maladie de la langue bleue), ont plaidé pour le développement rapide d’un vaccin et, dans l’attente, pour plus de souplesse sur les autorisations d’exportation de leurs bovins et ovins sains.
Alors que notre pays était épargné par la fièvre catarrhale ovine (FCO) depuis le 5 juin, il vient de perdre son statut indemne, ce 10 octobre. Ce changement fait suite à la contamination d’un mouton dans la province d’Anvers par le sérotype 3 du virus de la langue bleue.
Les 3 et 4 septembre, l’Autorité néerlandaise de sécurité des aliments et des produits de consommation a reçu plusieurs notifications de suspicion de fièvre catarrhale ovine (FCO) concernant des élevages de moutons situés dans les provinces de Hollande-du-Nord et d’Utrecht. Le 5 septembre, la présence du virus de la FCO (sérotype 3) a pu être démontrée dans quatre élevages différents.
L’élevage ovin a le vent en poupe depuis quelques années. C’est le bruit qui court dans les campagnes, mais est-ce vrai ? Quels sont les indicateurs qui peuvent soutenir cette rumeur ? Est-ce qu’il y a encore de la place pour de nouveaux éleveurs ou le marché est-il déjà saturé ? Quels sont les objectifs de la filière à l’avenir ?
Forte de nombreuses années de monitoring du parasitisme digestif dans plusieurs dizaines de troupeaux de petits ruminants et confortée par les résultats du récent projet GPS « Résistance aux anthelminthiques », l’Arsia poursuit sa campagne de sensibilisation aux bonnes pratiques de gestion du parasitisme digestif dans les troupeaux ovins et caprins. Du travail à accomplir, il y en a mais le dynamisme des éleveurs à tendre vers une approche ciblée et raisonnée doit être souligné !
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