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Ce mois de mars verra la création officielle du réseau « Abeilles noires locales », lequel réunit plusieurs associations apicoles de Wallonie qui œuvrent à la sauvegarde et au (re)déploiement des abeilles noires de chez nous dans toute leur diversité.

La culture poursuit son développement et, dans la plupart des situations, les premières fractions azotées ont été appliquées. C’est maintenant la présence de limace qui requiert une certaine vigilance.

Poursuivant sa croissance, le colza d’hiver fait désormais face aux méligèthes alors qu’il se trouve actuellement à un stade sensible aux dégâts.

L’Apaq-w a lancé, le 13 mars dernier, une toute nouvelle plateforme dédiée à l’approvisionnement en produits locaux, pour tous les acheteurs professionnels.

La Wallonie a décidé de mettre en œuvre des mesures pour réduire la charge administrative qui pèse sur les agriculteurs et adapter certaines dispositions qui impactent leur travail quotidien.

Le fabricant français d’accessoires de manutention Magsi élargit sa gamme de masses Evolumass’ et y ajoute deux nouveaux modèles de 250 et 400 kg pouvant équiper l’ensemble des machines tel que les micro-tracteurs ou autres. 

Si l’agriculture européenne est globalement peu dépendante des importations d’intrants, deux secteurs sont toutefois à risque : l’élevage de volaille et de porc vis-à-vis du soja, et les céréales avec les engrais.

Les colégislateurs européens ont finalisé la révision du cadre de lutte contre les organismes nuisibles aux végétaux. Les nouvelles dispositions doivent permettre de simplifier les procédures actuelles.

L’usage du bâchage à plat des cultures maraîchères est largement répandu. On en attend principalement un gain de température au sol, en particulier dès le début du printemps, en vue d’élargir la plage de commercialisation des produits frais. Dans un contexte de rentabilité, certaines précautions et mesures permettent d’améliorer leur efficacité et d’en réduire le coût par culture et par an.

La commission parlementaire du Commerce international n’a finalement pas suivi les demandes du secteur agricole et de la commission de l’Agriculture d’inclure les céréales au dispositif de « frein d’urgence ».