Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementDans le domaine des céréales d’hiver, qui constituent un pôle des activités du semencier basé à Hacquegnies, deux nouvelles variétés en froment d’hiver, cinq en escourgeon, une en épeautre et une autre en triticale seront disponibles dès cet automne.
Après avoir accusé de lourdes pertes de 2014 à 2016, le machinisme « bleu-blanc-rouge » reprend des couleurs. Le « made in France » est d’ailleurs gage de ventes, tant sur le marché intérieur qu’à l’export.
Pour la fédération de l’industrie alimentaire belge, l’absence d’accord avec le Royaume-Uni sur sa sortie de l’UE serait une catastrophe. « Il faut absolument éviter cette extrémité afin de limiter au maximum l’impact pour le plus grand secteur industriel de notre pays et ses nombreuses PME
Si les grandes plaines d’Europe de l’est, de Russie, d’Ukraine et du Kazakhstan sont connues pour leur importante production céréalière, cela signifie-t-il que le marché du machinisme agricole s’y porte bien ? Au sein des sept pays étudiés, la situation est en réalité très contrastée, oscillant entre baisse des investissements et concrétisation d’achats, selon l’état de santé économique de l’agriculture locale.
La France reste le premier exportateur mondial de semences agricoles en 2017-18, avec 1,6 milliard d’euros, selon une annonce réalisée par le Gnis (interprofession des semences et plants) le 20 décembre dernier.
Un accord a été trouvé sur la révision de la réglementation européenne sur les engrais qui élargit sa portée aux fertilisants organiques. Le compromis fixe une limite pour le cadmium de 60 mg/kg de phosphate, comme le souhaitaient les États membres.
Axema (l’équivalent français de notre Fedagrim), qui a confirmé le 18 octobre une prévision de croissance de 5 % pour l’agroéquipement en 2018, anticipe le maintien de cette tendance l’an prochain. De bonnes perspectives liées à l’amélioration des revenus agricoles.
Le groupe pharmaceutique allemand Bayer va débuter l’intégration du mastodonte américain des OGM et des semences, Monsanto, après la cession formelle d’une partie de ses activités agrochimiques à BASF, a-t-il annoncé jeudi.
Le géant allemand Bayer va vendre pour environ 1,7 milliard d’activités agrochimiques supplémentaires à son compatriote BASF, pour faciliter ses épousailles avec l’américain Monsanto, ont annoncé les deux groupes.
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