Economie

L’accord commercial sur les relations post-Brexit conclu le 24 décembre par l’UE et le Royaume-Uni tente de répondre aux principaux enjeux liés au secteur agricole concernant les règles d’origine, les mesures sanitaires et phytosanitaires mais aussi les nouvelles procédures douanières qui vont perturber le flux des marchandises et augmenter les coûts administratifs pour les opérateurs.

L’accord de partenariat économique et commercial conclu entre l’UE et le Royaume-Uni après le Brexit comprend diverses mesures propres au volet agricole.

Les marchés des produits laitiers tiennent bon, l’optimisme transparaît dans certaines régions, mais de nombreux opérateurs se montrent prudents face l’incertitude de la demande internationale pour l’instant solide.

L’Usda note que la forte demande chinoise de céréales devrait entraîner une contraction des stocks mondiaux de blé et de maïs en 2020-21.

Le Portugal prendra le 1er janvier la suite de l’Allemagne à la présidence du Conseil de l’UE pour six mois, avec pour principal objectif, en matière agricole, la finalisation des discussions en cours sur la réforme de la pac. Autre priorité : accélérer l’achèvement des négociations de libre-échange avec le Mercosur, l’Australie, la Nouvelle-Zélande.

Créée par des producteurs, un trait d’union concret entre attentes de consommateurs et valeurs des producteurs biologiques.

Le Service public de Wallonie – Agriculture, Ressources naturelles et Environnement – fait savoir qu’il a exécuté le paiement de la première tranche du solde des primes du 1er  pilier de la PAC 2020 (paiement de base, paiement redistributif, paiement jeune agriculteur, soutien couplé aux vaches viandeuses, laitières et mixtes, et soutien couplé aux ovins).

Après quelques années de tassement, les surfaces mondiales cultivées avec des OGM ont reculé de 0,7 % en 2019. Le plus gros des surfaces reste concentré dans quelques pays où le taux moyen d’adoption des plantes de grandes cultures génétiquement modifiées a déjà atteint son niveau de saturation.

Face à la crise sanitaire, de nombreux secteurs ont dû redoubler d’efforts pour nous permettre de vivre mieux ce quotidien chamboulé. C’est le cas du secteur agricole qui a rempli nos rayons et nos assiettes au fil des mois. Nombreux sont d’ailleurs ceux qui ce sont tournés vers le « consommer local ».

Ne dit-on pas ce que Femme veut, Dieu veut? Dans le cas présent, ce que 13 agricultrices rêvaient, la population la fait!