Accueil Viticulture

Viticulture

Viticulture

La Botte secrète du Hainaut

Viticulture Région un peu à l’écart des feux de l’actualité, la Botte du Hainaut connaît elle aussi le développement de ses vignobles. Plusieurs projets d’envergure se dessinent dans les prochains mois.
L'info en continu Voir toute l’actualité en continu >

Abonnez-vous

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles

Voir l'offre d'abonnement

Cépages: quelles tendances en Europe?

Début juillet s’est déroulé à Cortina d’Ampezzo en Italie, le colloque VinoVip qui a fait le point sur les « nouvelles compétences » dans la viticulture. Eugenio Sartori, DG de VCR, a présenté les grandes tendances variétales en Europe ainsi que les nouveaux cépages résistants.

Le choix des lecteurs

Des pistes pour préparer la viticulture de demain avec le projet EMRWINE

Grêle, sécheresse, inondations… Le climat est devenu un enjeu majeur pour les agriculteurs en général, et pour les viticulteurs en particulier. Tous peuvent perdre une année d’efforts en quelques minutes. En Belgique, le projet EMRWINE propose quelques pistes pour développer des pratiques durables.

Une reconversion réussie à la Tour de Tilice

Clôturons cette mini-tournée en visitant deux jeunes arboriculteurs qui ont opté pour la vigne dans cette région de Basse-Meuse. Une inspiration venue du succès de la coopérative Vin de Liège à Oupeye.

Des pommes, des poires et… des raisins au Domaine des Marnières

Si le Limbourg est l’une des principales régions fruitières d’Europe, la Basse-Meuse liégeoise est elle aussi une grande productrice de pommes et de poires, même si sa production est moindre. Cela a même amené la commune d’Oupeye à s’autoproclamer « Capitale wallonne de la fruiticulture » il y a une quinzaine d’années. Mais la conjoncture a changé, le secteur est confronté à de grandes difficultés, d’une part avec l’arrivée de la Pologne dans l’UE en 2004 – un pays aujourd’hui en surproduction fruitière de 115 ou 120 % – mais, surtout, avec l’embargo russe de 2014 sur les exportations de poires notamment.