Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLe système de quota sucrier en vigueur dans l’Union européenne depuis 1968 tirera officiellement sa révérence le 1er octobre 2017. Entrés en vigueur en 1968, ces quotas avaient pour objectif de garantir la production. Leur abolition ouvre la voie à une libéralisation du marché. Les groupes sucriers européens pourront dès lors produire autant de sucre qu’ils le souhaitent. Le prix de référence européen pour le sucre disparaîtra quant à lui, tout comme les prix minimums garantis pour les producteurs de betteraves.
L’Irbab attire l’attention des planteurs sur le développement de la rouille et de la cercospriose, de même sur la nécessaire élimination des betteraves montées et dites sauvages.
Les résultats du 2e prélèvement des betteraves en croissance révèlent une forte croissance racinaire.
Avec une production grimpante en Inde et dans l’Union Européenne, l’offre de sucre devrait excéder la demande après deux années consécutives de déficit, estime l’Association internationale du sucre (ISO) dans son rapport trimestriel.
Le développement des maladies foliaires en culture betteravière se poursuit : plus de 85 % des parcelles observées par l’Irbab atteignent le seuil d’un premier traitement pour au moins l’une des 4 maladies majeures.
Seneffe serait au cœur du projet de l'Association Wallonne des Betteraviers (AWB) qui consiste à construire une nouvelle méga-sucrerie à l'horizon 2020 déjà rapporté dans nos colonnes. La production annuelle envisagée atteindrait 200.000 tonnes, peut-on lire mercredi dans divers médias.
Dans un communiqué, l’Association des Betteraviers Wallons (ABW) annonce, qu’à l’initiative de planteurs soucieux de pérenniser la rentabilité de leur culture, un groupe de travail étudie l’opportunité de la construction et de l’exploitation sous le mode coopératif d’une nouvelle sucrerie en Belgique.
La mise en pratique de la lutte intégrée, la révision à la baisse des doses autorisées de nombreux produits, l’absence de nouvelles molécules et de nouveaux modes d’action, la résistance de certaines adventices, la pression exercée par la société et les politiques… Raisonnée, la protection phyto des cultures est encore amenée à évoluer notamment avec le soutien de moyens mécaniques, aujourd’hui testés.
Lors des journées techniques betteraves et chicorées organisées à Ramilies les 13 et 14 juin, il a été largement question du désherbage et des possibilité de combiner lutte chimique et interventions mécaniques.
En ces conditions peu propices à l’action de certains herbicides, il convient de bien contrôler le développement d’adventices plus difficiles ou qui auraient échappé aux traitements. Attention également aux risques de carences en bore et magnésium.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement