Pommes de terre, le moment des bonnes résolutions

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementCette saison culturale restera dans la mémoire des maïsiculteurs comme dépourvue de difficultés majeures malgré la sécheresse printanière, et pourvoyeuse de bons rendements sur les plans quantitatif et qualitatif.
Sur la base des premières estimations des comptes économiques de l’agriculture belge réalisées par la Direction générale Statistique pour l’année en cours, le secteur agricole voit sa valeur ajoutée nette se rétablir, après une année 2016 particulièrement difficile.
Le projet de construction d’une nouvelle sucrerie par les betteraviers pour les betteraviers (voir notre édition du 27 octobre) vient de franchir brillamment une première étape essentielle à sa concrétisation.
La consommation de produits bio croissant plus vite que l’offre, les exploitations françaises auraient trois choix : s’agrandir pour diminuer les coûts, accélérer les conversions d’exploitations conventionnelles vers le bio, ou alors laisser les importations combler l’insuffisance de l’offre.
Sans s’y opposer fortement, les ministres de l’Agriculture des Vingt-huit n’ont pas non plus accueilli à bras ouverts les premières propositions de la Commission européenne sur la future pac. C’est en particulier le nouveau système de mise en œuvre, qui laisserait aux États membres, voire aux régions, l’application de cette politique qui suscite des interrogations. Ils craignent d’une part une renationalisation de celle-ci mais surtout une complexification de sa mise en œuvre.
La Commission européenne n’exclut pas l’option du cofinancement national des paiements directs de la pac face au casse-tête budgétaire de l’après-2020. Les services agricoles européens portent, en revanche, un jugement très négatif sur une telle solution et ils soulignent aussi les graves conséquences, pour le secteur, d’une baisse du budget consacré à cette politique commune.
La Commission européenne proposera plus de transparence dans la confection des études scientifiques utilisées ensuite pour évaluer l’innocuité des substances telles que le glyphosate, a-t-elle promis mardi en réponse à l’initiative citoyenne européenne (ICE) réclamant l’interdiction de la substance active présente dans de nombreux herbicides.
Les Verts du Parlement européen entendent déposer devant la Cour européenne de justice une demande d’annulation de la prolongation du glyphosate pour 5 ans.
La Confédération générale des planteurs de betteraves en France a réclamé le 7 décembre une transparence sur les prix et une stratégie complète de gestion des risques en associant les planteurs.
Les rédactions du Sillon Belge et Landbouwleven ont le plaisir de vous présenter leur premier livre de photos. L’occasion de revivre les faits marquants de l’année 2017 !
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