Un projet de nouvelle sucrerie à l'horizon 2020 à Seneffe

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Voir l'offre d'abonnementAlors que certains champs voient arriver une deuxième génération de doryphores, d’autres sont exempts de ce ravageur. A surveiller pour réagir au cas par cas.
Le syndicat général des agriculteurs (ABS) a demandé à Belgapom, l’organisation professionnelle belge des négociants et des transformateurs de la pomme de terre, de pouvoir renégocier le plus rapidement possible les contrats de livraison. Les producteurs espèrent que les autres membres du secteur tiendront compte des effets de la récente sécheresse sur la prochaine récolte.
Avant d’autoriser l’utilisation sur le sol belge d’un produit de protection des plantes, le Comité d’agréation des pesticides à usage agricole s’assure de caractériser le plus précisément possible les risques qu’il présente pour l’environnement. Une fois l’évaluation terminée, des mesures de réduction du risque peuvent être imposées aux utilisateurs. En cas de non-respect de celles-ci, le produit concerné risque un retrait du marché, qu’importe son efficacité.
Les productions fourragères pâtissent du manque d’eau enregistré depuis l’hiver 2016-2017. Nombre d’agriculteurs ardennais ont en effet constaté une diminution dans les rendements compris entre 10 et 30 % pour les premières coupes et jusqu’à 35 voire 40 % pour les secondes coupes. La qualité des fourrages est par contre bonne à très bonne, indiquent vendredi le Centre agri-environnemental de Michamps et l’asbl Fourrages Mieux, active dans le conseil et la vulgarisation des techniques agricoles.
Si les pucerons se font discrets, il n’en va pas de même pour les doryphores, dont les populations sont extrêmement variables d’une parcelle à l’autre.
Brève rencontre avec le président de la bourse de Liège. Après la gifle de l’an dernier, les escourgeons ont retrouvé des couleurs.
Si le réchauffement de la planète est incontestable, quelle en est l’ampleur réelle ? Pourquoi est-ce si préoccupant ? En quoi la communauté internationale, l’Europe et la Belgique tentent-elles de répondre à ce défi ? Et les remèdes à y apporter ne sont-ils pas la source d’opportunités pour notre économie ? Autant de questions abordées lors du Sommet des producteurs récemment organisé sur la thématique de la foire qui débute le 28 juillet.
La récolte de l’escourgeon (ou orge d’hiver), en avance de 15 jours par rapport à une année normale, s’est avérée bonne en Wallonie, malgré le manque de pluviosité observé depuis des mois.
En ce début d’été, les producteurs de fruits français font face à une concurrence espagnole exacerbée et à la pression de la grande distribution, qui pèsent sur les prix auxquels ils vendent leur production, une menace dénoncée par les syndicats agricoles.
Les producteurs de pommes wallons dressent des prévisions pessimistes à propos de la prochaine récolte en raison des gelées nocturnes relevées fin avril. «Toutes variétés confondues, nous ne pouvons espérer que 25 à 30% d’une production normale, le plus faible rendement depuis 1991», a indiqué jeudi Olivier Warnier, directeur du Centre pilote fruitier wallon, devant une vingtaine de producteurs venus écouter le ministre wallon de l’Agriculture, René Collin.
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