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Voir l'offre d'abonnementL’Afsca renforce la surveillance phytosanitaire dans le secteur de la pomme de terre primeur importée.
Cet avis signe la fin des observations des maladies dans les parcelles au terme d’une saison globalement sans gros souci parasitaire.
L’agriculture biologique connaît une progression constante en Belgique d’année en année, en particulier en Wallonie où, pour l’ensemble du pays, elle représente 91%. L’objectif est d’atteindre 30% de surface agricole utile à l’horizon 2030, a indiqué mardi Willy Borsus, ministre wallon en charge de l’Agriculture, à l’occasion du lancement de la campagne digitale «Bio mon choix». Celle-ci a pour but d’oeuvrer en faveur de l’agriculture biologique et est organisée par l’Apaq-W (Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité), remplaçant ainsi la Semaine bio reportée en 2021 en raison du Covid-19.
Les ministres de l’Agriculture de l’UE ont dit le 8 juin leurs inquiétudes liées aux stratégies « de la ferme à la table » et « biodiversité » proposées par la Commission européenne.
Ce ne sont pas 15 milliards € qui ont été ajoutés au budget de la politique agricole commune dans la nouvelle proposition de cadre financier pluriannuel pour 2021-2027, mais bien « 26,4 milliards € », a précisé le commissaire européen à l’agriculture, le 2 juin.
Pour la 4e année consécutive, une période de déficit hydrique marque la conduite des cultures maraîchères notamment. Celles-ci ont besoin de disponibilités importantes et soutenues en eau.
Les tubérisations ont commencé, avec des plantes du stade crochet au stade petite noix. À première vue, elles sont plutôt bonnes (10 à 15 tubercules). Mais il est trop tôt pour établir déjà des prévisions.
Beaucoup de parcelles ont déjà été traitées à 2 ou 3 reprises. Les conditions restent favorables aux infestations et au développement des populations de pucerons verts et la vigilance reste actuelle, conseille l’Irbab dans son avis du 4 juin.
En raison des mesures sanitaires prises pour limiter la propagation du coronavirus, de nombreux agriculteurs et autres professionnels ne pourront suivre dans les temps les formations nécessaires pour renouveler leur phytolicence. C’est pourquoi la validité des phytolicences expirant le 24 novembre 2020 est prolongée d’un an.
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