Betteraves sucrières: la rouille progresse, la cercosporiose s’installe











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Pour les variétés à chair ferme… ou tendre, le moment est déjà venu d’inspecter les calibres et de prendre connaissance des poids sous eau.

La Flandre a perdu en dix ans (2010-2019) 1.600 hectares de zones agricoles, a indiqué la ministre régionale de l’Environnement, de l’Énergie et du Tourisme, Zuhal Demir, en réponse à une question parlementaire.

Deux agriculteurs de la coopérative «En direct de mon élevage» ont procédé, jeudi passé, à la récolte de graines de lin oléagineuses dans un champ d’une surface de 8 hectares, situé à Roselies (Aiseau-Presles). Les quantités récoltées de lin doivent servir à l’alimentation animale. Ce qui les distingue selon la coopérative des volumes de lin récoltés jusqu’ici en Belgique, destinés eux à la production textile.

Nombreuses et variées sont les cultures susceptibles d’être les proies de ce papillon migrateur.

Depuis le 30 juin 2020, l’utilisation du chlorprophame, plus communément appelé CIPC, pour le contrôle de la germination des pommes de terre est interdite en Belgique. Il ne pourra donc plus être employé sur la récolte 2020. Néanmoins, la probabilité de contamination croisée des pommes de terre avec le CIPC issu des bâtiments et du matériel de manutention contaminés est bien réelle. Pour limiter ce risque, le nettoyage des bâtiments et de leur contenu est indispensable.







Les plantes peuvent manifester des symptômes très divers en ce moment: problèmes physiologiques, sénescence, carences, maladies (viroses, bactérioses et cryptogames), ou encore des attaques d’acariens.

Dans la dernière ligne droite, mardi matin, jour de la fête nationale, la pac a fait les frais des âpres discussions budgétaires entre les Vingt-sept.

La CoBT tire la sonnette d’alarme : si la construction de la sucrerie de Seneffe devait être abandonnée, ça ne sera pas par manque d’implication des coopérateurs plus décidés que jamais à ce que le projet aboutisse, mais bien à cause de la position toujours incertaine des banques qui peinent à s’inscrire fermement dans le projet alors que toutes les conditions exigées sont remplies.

L’Irbab indique avoir commencé le repérage des maladies foliaires dans les cultures.

Des chercheurs de l’Institut flamand de Biotechnologie (VIB) et de l’ASBL Amarant vont étudier la manière dont les tableaux anciens peuvent être utilisés afin de retracer les modifications génétiques subies par les végétaux que nous consommons. Les scientifiques recherchent également l’aide du public afin de constituer un vaste catalogue, indique mardi le VIB.
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