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Le mois de juin sera décisif pour les récoltes

Cultures «Si la pluviosité du mois de juin est semblable à celle que l’on a habituellement, à savoir 71 mm, ce ne sera pas une trop grosse catastrophe pour les cultures», déclare vendredi Etienne Ernoux, agriculteur et président de la commission productions végétales de la Fédération wallonne de l’Agriculture (FWA). «Le mois de juin permettra de dire si ça va passer ou casser», ajoute-t-il alors que la pluviosité des mois d’avril et mai était extrêmement basse, mettant à mal les différentes cultures.
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Stratégies «de la ferme à la table» et «biodiversité»: un énorme chantier et beaucoup d’interrogations

Baisse d’ici 2030 de 50 % des risques et de l’utilisation des pesticides, de 20 % de l’utilisation des engrais, de 50 % du recours aux antibiotiques en élevage mais aussi un objectif de 25 % de surfaces en agriculture biologique. La Commission européenne a officiellement lancé le 20 mai ses stratégies « de la fourche à la fourchette » et « biodiversité à l’horizon 2030 » qui fixent un cap ambitieux pour le verdissement des systèmes alimentaires européens.

Taux de liaison au sol: vérifiez bien l’exactitude des éléments clés!

Les taux de liaison au sol 2019 viennent d’être envoyés par l’Administration. A la réception du courrier, il est important de vérifier que les éléments suivants soient corrects : SAU, données du cheptel, échanges d’engrais de ferme. Dans le cas contraire, un recours peut être introduit.

Le choix des lecteurs

Betteraves sucrières: des pucerons... mais aussi de nombreux insectes utiles!

Si la lutte contre les pucerons mérite encore une grande vigilance, l’Irbab observe le renfort très précieux de larves de coccinelles et de syrphes. Du côté des adventices, les conditions actuelles se prêtent idéalement au binage pour éliminer des adventices trop grandes pour être combattues par les mélanges Far.

Dans la commune de Libramont-Chevigny, on plante du miscanthus pour protéger le captage

Le miscanthus est plébiscité par les acteurs de la protection de l’environnement et des eaux : la culture de cette plante ne nécessite que peu voire pas d’azote, protège les sols de l’érosion et constitue un abri pour la faune sauvage. De plus, elle possède de nombreux débouchés dans l’énergie et les biomatériaux. À Libramont-Chevigny, le projet « Miscanteau » a été lancé auprès des agriculteurs pour limiter les pertes en nitrate dans les zones de captage.