Un lait australien allègue moins d’émissions de méthane

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Voir l'offre d'abonnement5049 de Halma était sans conteste l’une des vedettes de la dernière Foire de Libramont. Sacré meilleur taureau, ce Blanc Bleu-Belge de bientôt 5 ans, pesant 1.280 kg, a fait la fierté de toute la famille Dambly. Cette véritable équipe composée de Pierre, le père, Valérie, la mère, ainsi que de leurs cinq enfants, a réussi à faire de cet animal né et élevé chez eux un grand champion. Dans leur ferme située à Halma (Wellin), ils ont accepté de revenir sur cette belle aventure.
Dans le cadre de la campagne européenne d’information « Foie gras en reels », rendez-vous a été donné, voici peu, à la Ferme de la Sauvenière, à Hemptinne-lez-Florennes. L’objectif ? Découvrir les réalités de la filière, de l’élevage à la transformation en passant par le gavage et l’abattage des canards. C’est donc en toute transparence que Valérie Van Wyzenberghe, la propriétaire des lieux, a partagé son quotidien d’éleveuse.
On estime qu’environ 11.000 ovins et 6.000 bovins sont morts des suites de la fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, depuis l’apparition du virus en Belgique, selon les chiffres de la société Rendac, qui nettoie et traite les carcasses pour le compte du gouvernement.
La fièvre catarrhale, aussi connue comme maladie de la langue bleue, pourrait bien avoir un impact sur le prix de la viande d’agneau, avertit l’association flamande des éleveurs d’ovins (Vlaamse Schapenhouderij - VSH). Environ 11.000 animaux - soit presque 10% du cheptel en Belgique - sont morts de cette maladie depuis le début de l’épidémie, selon l’entreprise Rendac qui traite les carcasses.
La fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a été détectée sur 1.192 sites en Belgique, a indiqué lundi l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca). Le virus progresse également chez les animaux de compagnie tels que les alpagas. Cela peut expliquer cette hausse assez conséquente par rapport à la semaine dernière, lorsque 874 cas avaient été recensés.
En février, nous avions rencontré Stéphanie Parent, de la bergerie des Nuages, à Braives, en Hesbaye. À cette époque, cette éleveuse ovine était en pleine période d’agnelage, un moment stressant, mais tout aussi passionnant. Malheureusement, aujourd’hui, elle doit faire face à un autre défi : la fièvre catarrhale ovine. Bien que la Braivoise estime « s’en tirer mieux que d’autres », cette maladie a tout de même eu un impact non négligeable sur son troupeau de moutons.
Vétérinaire et responsable de projet en épidémiologie et encadrement sanitaire à l’Arsia, François Claine avait déjà tiré la sonnette d’alarme quant à l’arrivée imminente de la fièvre catarrhale ovine dans notre pays, il y a plusieurs mois de cela. Aujourd’hui, face à la multiplication des foyers et à la détresse des éleveurs, il répond à nos questions sur cette maladie… qui n’a certainement pas encore révélé toutes ses facettes.
La fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a été détectée sur 874 sites en Belgique, selon les chiffres de l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) communiqués ce mardi. Il s’agit d’une forte hausse par rapport à la semaine dernière lorsque 501 foyers avaient été comptabilisés.
Une ONG dénonce l’Irlande qui continue d’exporter un grand nombre de veaux non sevrés et demande de mettre fin à cette pratique.
Quarante-et-un foyers d’un nouveau type de fièvre catarrhale ovine (FCO), aussi appelée « maladie de la langue bleue », étaient confirmés au 14 août dans six départements du nord de la France, a indiqué vendredi le ministère français de l’Agriculture.
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