Pour une stratégie qui «ne pénalise pas» le secteur de l’élevage











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Devenues des cultures à part entière, les prairies requièrent un entretien adéquat et adapté à leur état. En témoignent l’offre grandissante des semenciers mais aussi le panel de matériels agricoles mis sur le marché. En effet, ceux-ci ont fortement évolué, au même titre que les exigences des éleveurs, toujours plus nombreux à viser l’autonomie fourragère et la récolte d’un fourrage de haute qualité.

Lorsque les premiers rayons du soleil pointent le bout de leur nez, nous sommes nombreux à en profiter pour travailler dans le jardin. Et pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable en y accueillant des poules ? Pondeuses ou d’ornement, il en existe des centaines de sortes, chacune avec leurs caractéristiques bien particulières. À Wasseiges, en province de Liège, Clémence Dosimont en a fait son métier et nous a ouvert les portes de son élevage, où une quarantaine de races sont représentées.

Les commissaires européens Jessika Roswall (Environnement) et Christophe Hansen (Agriculture) ont visité, le 4 mars, la ferme laitière Koeweidehof dans le cadre de la stratégie européenne pour la bio-économie, que la commission prévoit de lancer dans le courant de l’année.

La fertilisation minérale utile aux prairies de fauche pour cette nouvelle saison trotte doucement dans la tête des éleveurs. Avant toute chose, il est nécessaire de déterminer les besoins et surtout les apports déjà réalisés ou programmés via les engrais organiques tels que les fumiers, composts ou autres lisiers et digestats.

Durées de voyage, températures, espace alloué aux animaux, transport vers des pays tiers. Trop divisés, les deux eurodéputés chargés de préparer la position du parlement européen sur le transport animal ne sont pas parvenus à trouver de terrain d’entente sur les points centraux de la proposition de la commission. Les débats promettent d’être compliqués.







Après l’Allemagne, en janvier dernier, une nouvelle infection par la fièvre aphteuse a été signalée au sein de l’Union européenne, en Hongrie.

Le ministère néerlandais de l’agriculture et l’industrie avicole ont lancé lundi un projet pilote visant à vacciner les volailles contre la grippe aviaire. Dans un premier temps, il s’agit d’un essai dans une seule exploitation avicole qui durera jusqu’en 2027.

Le Conseil de l’Europe a annoncé l’entrée en vigueur du texte de la Convention de Berne abaissant le statut de protection du loup, le faisant passer « d’espèce de faune strictement protégée » à « protégée ». Trois pays (la République tchèque, Monaco et le Royaume-Uni) ont formulé des objections et le texte ne s’y appliquera donc pas.

L'augmentation du nombre d'infections à la salmonelle en Belgique est liée à la consommation d'œufs, ressort-il d'une enquête menée par l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca), le Département flamand Zorg et l'institut national de santé publique Sciensano. Les produits concernés ont été rappelés auprès des consommateurs et consommatrices.

La grippe aviaire de type H5N1 a été détectée dans un élevage de poulets à Stekene, en Flandre orientale, a rapporté jeudi l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) dans un communiqué. Afin d'éviter toute propagation du virus, les volailles ont été abattues.
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