Peste porcine africaine : la commission lance un appel à la vigilance

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Voir l'offre d'abonnementBien que la filière ovine se développe en Wallonie, les éleveurs sont toujours à la recherche de débouchés. Et pour y arriver, certains d’entre eux ont décidé d’unir leurs forces pour rationaliser leurs coûts et négocier un prix convenable. C’est le cas des frères Baikrich, installés dans la région de Bastogne, qui ont développé en collaboration avec d’autres éleveurs l’agneau Joyau, une filière ovine wallonne de qualité. Rencontre avec Florian qui nous explique la démarche.
En Région Wallonne, la destruction de prairies permanentes n’est autorisée qu’entre le 1er février et le 31 mai, et interdite sur les sites Natura 2000. Particulièrement néfaste à la qualité de l’eau, cette pratique libère des quantités conséquentes d’azote dans le sol et fait l’objet d’une réglementation stricte. Il est donc primordial de savoir comment agir ensuite pour limiter le risque de lessivage de ce nitrate.
Le début du XXe siècle a vu la pratique de l’élevage ovin se perdre au sein de nos campagnes, au profit de l’élevage bovin. Aujourd’hui, par manque de tradition, le secteur ovin wallon manque encore et toujours d’éleveurs professionnels et surtout d’agneaux pour satisfaire la demande du consommateur. Au niveau belge, à ce jour, seuls 16 % de la viande ovine consommée sont produits localement.
Vous êtes agriculteur.trice et vous souhaitez mettre ou mettez déjà en place des pratiques agroécologiques dans votre exploitation ? Vous êtes engagé.e dans une transition agroécologique et vous avez la volonté d’aller plus loin ? Cet appel à candidatures peut vous intéresser !
Au terme de plusieurs mois de négociations, Idelux a reçu une offre ferme de reprise du site de l’abattoir de Bastogne, d’une superficie de plus de 6 ha, comprenant des bâtiments sur plus 17.500 m².
Comme les agriculteurs, les fabricants d’aliments composés pour animaux ont rencontré quelques turbulences en 2021. Néanmoins, ils ont pu maintenir leur production à un niveau similaire à celui atteint en 2020. Une bonne nouvelle qui ne doit pas occulter les défis auxquels ils devront faire face dans les prochaines années.
La Belgian Feed Association (BFA), en collaboration avec l’Ilvo, a récemment communiqué les résultats d’une étude sur l’efficacité des protéines comestibles du bétail belge. Celle-ci établit pour la première fois le lien entre, d’une part, les protéines végétales utilisées pour l’alimentation animale, qui pourraient également être utilisées dans l’alimentation humaine, et, d’autre part, la quantité de protéines animales comestibles produite en retour.
Hausse du coût de l’aliment, augmentation du coût de production du maïs grain lié notamment à la hausse du prix des énergies et donc du coût de séchage… le contexte actuel invite les éleveurs à s’intéresser de près au maïs grain humide (MGH). D’autant que ce produit est très bien valorisé par les animaux. Très utilisé dans les exploitations porcines, où il constitue souvent plus de 50 % de la ration des porcs charcutiers, il a aussi de nombreux atouts pour l’alimentation des bovins.
Dans un contexte de changement climatique et de diversification des modes d’élevage, les animaux seront davantage exposés à des perturbations de leur environnement. Afin d’identifier des indicateurs de la résilience des animaux à de telles perturbations, les données de ponte de plus de 60.000 poules pondeuses ont analysé. Trois indicateurs de résilience facilement mesurables et en partie déterminés par des facteurs génétiques en ont été déduits.
Pour permettre d’estimer avec plus de précision les stocks d’herbe disponibles et ainsi mieux prévoir le pâturage du cheptel, un outil fait parler de lui dans plusieurs pays : l’herbomètre à plateau. Cependant, les équations de calibration couplées à cet outil sont réalisées dans des situations pédoclimatiques parfois bien distantes de la Wallonie. Développer une équation adaptée à nos conditions était donc nécessaire. C’est désormais chose faite !
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