Les maladies de l’orge et de l’escourgeon: pour bien les identifier!

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Voir l'offre d'abonnementAlors que les semis sont pour ainsi dire terminés, les observations d’insectes ont repris. À l’heure actuelle, aucun dégât d’atomaire ou d’altise n’a été signalé. De même, les pucerons sont, pour l’instant, absents des parcelles d’observations.
Liserons des haies, repousses de pomme de terre ou de chicorées witloof, souchet comestible… Ces adventices diverses peuvent être retrouvées dans les parcelles de maïs. Une stratégie de lutte adéquate doit alors être adoptée !
De la profondeur, la densité… aux points d’attentions plus particuliers, le Carah rappelle les dispositions à prendre pour réaliser la plantation des pommes de terre dans les règles de l’art. Bonne plantation à tous
L’Université de Liège a présenté lundi le démonstrateur PULSE, pour Phosphorus Uliège Sludge Extraction, un dispositif pilote pré-industriel qui permet de récupérer le phosphore à partir de boues séchées directement issues du traitement des eaux usées au lieu de les incinérer. Cet équipement, qui se base sur un procédé chimique unique d’extraction, est opérationnel au sein de la station d’épuration de l’AIDE à Oupeye.
Il est judicieux d’évaluer le stade et l’état sanitaire de votre parcelle d’escourgeon avant de réaliser tout traitement.
Alors que le ciel est bleu et que le soleil brille, le vent du N-NE abaisse les températures sous les normales de saison, à des niveaux inférieurs à 15ºC. Avec ces conditions, peu d’insectes sont présents dans la culture de colza d’hiver.
Le retour des températures printanières durant la journée a permis aux froments de reprendre leur développement ces derniers jours.
Les récentes vagues de froid en Europe ont eu des « impacts limités sur les cultures annuelles », indiquait le 26 avril le service de prévisions Mars de la Commission européenne.
Une certification Vegaplan supplémentaire sera mise en place dans les semaines à venir et cible les agriculteurs dont les productions végétales sont destinées à la restauration collective française.
Auparavant considéré comme un vulgaire déchet, le lisier a progressivement acquis le statut d’or brun. Et pour cause : il s’agit d’une ressource naturelle riche et abondante, disposant d’un incroyable potentiel fertilisant et permettant d’augmenter le rendement des prairies et cultures à un coût limité. Son épandage nécessite cependant l’utilisation d’un matériel adapté, capable de conserver au maximum ses propriétés nutritives tout en assurant une répartition homogène. Parmi les solutions existantes, plusieurs conjuguent efficacité, rentabilité et écologie. Petit tour d’horizon…
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