Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnement
La situation concernant les pucerons a peu évolué par rapport à la semaine précédente : très calme !
«Si la pluviosité du mois de juin est semblable à celle que l’on a habituellement, à savoir 71 mm, ce ne sera pas une trop grosse catastrophe pour les cultures», déclare vendredi Etienne Ernoux, agriculteur et président de la commission productions végétales de la Fédération wallonne de l’Agriculture (FWA). «Le mois de juin permettra de dire si ça va passer ou casser», ajoute-t-il alors que la pluviosité des mois d’avril et mai était extrêmement basse, mettant à mal les différentes cultures.
La presse à balles carrées représente un investissement important pour son propriétaire. Il est donc important que sa saison de travail se déroule de manière pleine et sans encombre pour amortir au mieux les coûts consentis pour ce matériel. Dans cette optique, la préparation d’avant-saison de la presse se révèle cruciale.
Les « pucerons verts » sont toujours présents, favorisés par des circonstances favorables. L’institut betteravier, dans son avis du 28 mai, appelle à maintenir la vigilance. Il attire également l’attention des planteurs sur les apports en bore et la maîtrise des chardons.
La Fédération wallonne de l’Agriculture dénonce fermement les propositions de budget européen remanié pour la période 2021-2027 et l’abandon des ambitions agricoles que génèrent ces propositions. Avec une réduction globale des aides agricoles (1er & 2e pilier de la pac et plan de relance), la Commission européenne demande tout simplement au secteur agricole de se sauver lui-même, alors qu’il vient pourtant de démontrer toute sa capacité à assurer l’approvisionnement alimentaire de 500 millions de consommateurs européens pendant la crise du Covid-19.
Des essaims de dizaines de millions d'insectes détruisent des cultures dans des régions septentrionales de son territoire.
En réponse aux périodes de sécheresse de plus en plus récurrentes en Belgique, la province de Brabant flamand promeut auprès des agriculteurs la culture de céréales peu exigeantes en eau, comme le quinoa. Une culture d’expérimentation, semée fin avril à Herent, donne jusqu’à présent des résultats étonnants.
La Raffinerie tirlemontoise met à disposition des agriculteurs 1.000 mètres cubes d’eau chaque jour depuis le début de la semaine en raison de la sécheresse persistante, a indiqué l’entreprise mardi. L’or bleu mis à disposition est récupéré lors de la transformation des betteraves sucrières, qui contiennent environ 80% d’eau.
Une enquête du Centre technique interprofessionnel des fruits et légumes sur le désherbage en cultures fruitières montre que les alternatives au glyphosate se heurtent à des verrous technico-économiques.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement