La canneberge, au cœur d’un étonnant itinéraire technique

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementSur avis du Comité d’agréation des pesticides à usage agricole, les autorisations de tous les produits phytopharmaceutiques contenant du prosulfocarbe ont été suspendues en Belgique. Cette décision, prise en début d’année, interdisait la vente et l’utilisation desdits produits à partir du 09/02/2024.
Lundi 25 novembre, dans le hall 6 d’Interpom 2024, la version 2.0 du Code de bonnes pratiques contractuelles dans le secteur de la pomme de terre a été signée par les 5 membres de Belpotato.be, l’organisation interprofessionnelle de la pomme de terre.
Les récoltes de céréales, betteraves et pommes de terre sont «insatisfaisantes», a déploré ce jeudi le service d'étude de la Fédération wallonne de l'agriculture (Fwa). Ce dernier pointe une baisse de rendement, mais aussi de qualité, sur l'ensemble des cultures.
Le secteur de la pomme de terre est confronté à de nombreux défis, liés à son orientation vers l’industrie, mais aussi sur les plans économique, environnemental et sociétal. Une analyse de ceux-ci est nécessaire en vue de déterminer sur lesquels agir en premier lieu afin de tendre vers une production et une transformation plus durable, au profit de l’ensemble des maillons de la filière.
Pour l’édition 2024, le salon Interpom est fier d’annoncer un nouveau record avec non moins de 23.998 visiteurs. Un nombre qui prouve la valeur de l’évènement etson rayonnement international.
Comme bien d’autres cultures, la pomme de terre revêt une dimension internationale traduisant des modes de production bien différents d’une région à l’autre du globe. Avec, toutefois, un point commun : celui d’amorcer une évolution qui devra lui permettre de répondre aux attentes environnementales et sociales d’aujourd’hui et de demain.
L’autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a estimé, dans une évaluation, que l’herbicide flufénacet était un perturbateur endocrinien (du système thyroïdien).
Hans Roskams, agriculteur dans le village d’Everberg, dans la commune de Kortenberg en Brabant flamand, pratique un vaste plan de cultures dont les pommes de terre sont une spéculation importante. Il accorde également une grande importance à son sol.
En dépit des conditions météorologiques rencontrées cette année, le risque mycotoxine est assez limité et concerne principalement l’alimentation des porcs.
Thierry Gain, coordinateur technique national de l’Association pour la promotion d’une agriculture durable (Apad) en France, partagera son expérience sur le travail de sol, la gestion des limaces et des rongeurs et sur les matières organiques lors de plusieurs dates prévues du 25 au 27 novembre.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement