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Voir l'offre d'abonnementUn travail minimum du sol, une couverture maximale de celui-ci et une rotation des cultures adaptée. Ces principes fondent l’agriculture de conservation. Coup d’œil sur des exemples concrets.
Sur proposition du ministre wallon de l’Agriculture, René Collin, le Gouvernement wallon a approuvé le renouvellement de la convention-cadre avec la Fédération des services de remplacement agricole de Wallonie (Fsraw) pour la période 2018-2022 et d’un montant annuel de 950.000 €.
En concertation avec les représentants du secteur « pommes de terre », dans la situation phytosanitaire actuelle le Fonds des Végétaux n’indemnisera plus les pommes de terre contaminées par les nématodes Meloïdogyne chitwoodi et Meloïdogyne fallax.
Sur la base des ventes 2017, le prix des biens non bâtis en zone agricole s’élève en moyenne à 27.205 euros/ha, avec de grandes variations selon les régions agricoles, l’utilisation et le mode d’occupation.
Les analyses d’échantillons effectuées en prérécolte des cultures de froment par le Réseau d’alerte mycotoxines confirment, à la date du 13 juillet, le faible niveau de contamination en deoxynivalénol ou DON.
L’absence ou le déficit de précipitations se manifestent de manière de plus en plus nette dans les champs.
Près de 2.500 ventes ont été notifiées représentant 5.504 hectares de terres bâties ou pas, mais situées en milieu agricole au cours de l’année 2017, indique le premier rapport de l’Observatoire du foncier agricole, présenté vendredi par le ministre wallon de l’Agriculture, René Collin. Le montant global de ces ventes est de près de 350 millions d’euros.
Le Guide sectoriel « Production primaire – volet végétal » ou le cahier des charges « Standard Vegaplan » garantissent la traçabilité, la durabilité et la qualité des produits végétaux délivrés aux autres acteurs de la chaîne de production. Pour y parvenir, plusieurs exigences concernent la sécurité alimentaire et sont respectées – avec brio ! – par les agriculteurs.
La récolte des céréales s'annonce d'ores et déjà maigre cette année, en raison d'un manque de pluviosité, entre des rendements pour l'escourgeon en forte baisse et des perspectives guère plus optimistes pour les blés.
Constatant une hausse des surfaces de 1 % dans l’ensemble des 5 pays concernés, le Groupe des producteurs de pommes de terre du nord-ouest européen – Nepg – attire l’attention sur l’influence prépondérante que pourrait avoir la sécheresse sur la récolte 2018. Un retour rapide des pluies pourrait toutefois tempérer cet impact.
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