La Flandre se dote d’un nouveau plan stratégique bio

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementAprès avoir connu une légère croissance en avril, les prix des produits alimentaires mondiaux sont repartis à la baisse en mai, suite au repli des cours internationaux des céréales, des huiles végétales et des produits laitiers.
Du 3 au 11 juin, l’Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité (Apaq-w) met le bio à l’honneur à travers la Semaine bio. Comme de coutume, cet événement vise à favoriser la rencontre entre les opérateurs bio et les consommateurs. Cette année, c’est le thème « Le bio, plus qu’une mode, un mode vie » qui a été choisi.
Venu, lors d’une audition publique, s’exprimer devant les eurodéputés, le vice-président de la commission Frans Timmermans, en charge du Pacte Vert, s’est montré extrêmement ferme sur les propositions de l’Exécutif sur l’utilisation durable des pesticides et la restauration de la nature qu’il ne compte ni retoquer ni affaiblir.
L’herbe est une ressource difficile à appréhender, dont la pousse et la qualité peuvent fortement varier. Cette variabilité complexifie l’optimisation de sa récolte et la gestion du pâturage. Avec comme objectif d’accompagner les éleveurs dans cette gestion, le projet Sunshine, porté par le Centre wallon de recherches agronomiques (Cra-w), et le projet WalleSmart s’associent pour développer un outil numérique d’aide à la décision qui intègre les dernières technologies d’imagerie satellite et de modélisation mathématique.
Se réunir sur une terrasse, et déguster une tarte en famille ou entre amis... Voici ce que nous vous proposons cette semaine.
Eurodéputé du groupe centriste « Renew », Jérémy Decerle est aussi éleveur en Bourgogne-Franche-Comté. Vent debout contre la révision de la directive « IED », il jette par ailleurs un regard sans concession sur le jeu politique au sein de l’hémicycle qui oscille, pour lui, entre une droite conservatrice, la gauche et surtout des écologistes qui jouent la carte du catastrophisme.
Le 16 mai, l’Assemblée générale de Belplant s’est tenue à la Citadelle de Namur. Le thème de cette année, « Le règlement sur l’utilisation durable des produits de protection des plantes permet-il de réconcilier l’agriculture, la biodiversité et le changement climatique ? », a permis aux orateurs d’exprimer des points de vue parfois opposés mais aussi d’évoquer des pistes de solution.
Il nous est parfois donné de vivre des expériences particulières, agréables autant que surréalistes, quand nous rencontrons des personnes absentes de notre vie depuis cinquante ans : des copains d’enfance perdus de vue, des condisciples d’école primaire, des cousins ou cousines, des voisins partis habiter au loin… L’opportunité se présente alors de fraterniser, d’échanger des souvenirs et de découvrir éventuellement ce que cette dame, ou ce monsieur, a vécu au cours de ce demi-siècle : ses joies, ses peines, sa carrière professionnelle, sa famille… Ces retrouvailles sont particulièrement passionnantes quand le dénominateur commun avec ces gens n’est autre que le métier d’agriculteur !
On estime que le contrôle, c’est-à-dire la destruction ou le traitement par chaulage, bâchage ou mélange avec du fumier ou du broyat (avec retournements successifs pour les traitements à la chaux et aux matières organiques) des tas d’écarts de triage et de déterrage des pommes de terre permettrait d’économiser 2 traitements fongicides.
Deux moulins, l’un dédié aux aliments pour animaux, l’autre aux farines panifiables… Mais aussi deux histoires, à la fois similaires et différentes… À leur tête, Christian Hick, Philippe Van Laethem, Benoît Tyberghein et Benoit Brouwers. Ces quatre passionnés ont choisi d’assurer l’avenir de ces outils qui, malgré une histoire séculaire, allient modernité et technologie afin de répondre aux attentes bien actuelles de leurs clients.
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