Les buses anti-dérive, un compromis entre réduction de la dérive et efficacité du traitement

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Voir l'offre d'abonnementDans les parcelles suivies, les blés durs sont entre le stade début épiaison (BBCH 51) et le stade début floraison (BBCH 61) pour les variétés les plus avancées.
La grande majorité des froments a dépassé le stade dernière feuille étalée (BBCH 39) et se dirige vers le stade épiaison (BBCH 51-59). Les variétés plus hâtives comme Campesino ou RGT Perkussio sont déjà à la fin de l’épiaison (BBCH 57-59) voire au début de la floraison (BBCH 61).
Sur la base des résultats des essais réalisés en 2022 et 2023, neuf variétés de betteraves sucrières ont été admises au catalogue national des variétés d’espèces de plantes agricoles.
Les cultures maraîchères sont très sensibles aux défauts du sol. Il est donc important d’orienter les travaux aratoires pour assurer aux plantes le meilleur développement possible des racines. Si les quelques jours de cette première décade de mai, moins pluvieux, ont permis de les réaliser, dans de nombreuses régions, les sols sont à peine ressuyés. La terre s’y travaille très mal, reste compacte et froide. Sur ces sites et chaque fois que c’est possible, il est préférable d’attendre avant d’intervenir au risque de dégrader la structure pour de nombreux mois.
Alors que les semis touchent à leur fin, il est temps de surveiller l’arrivée éventuelle des pucerons.
La jaunisse virale constitue un véritable problème en betteraves sucrières, accentué par la disparition des enrobages de semences à base de néonicotinoïdes. Pour minimiser l’impact de cette maladie, une stratégie reposant sur quatre piliers doit être adoptée, dans l’attente de voir de nouvelles solutions émerger.
La culture de froment associée au pois protéagineux d’hiver approche du stade dernière feuille étalée (BBCH 39).
Au fur et à mesure de la croissance du froment, la pression fongique s’accroît également. Des interventions phytosanitaires peuvent s’avérer nécessaires.
Les agriculteurs du Contrat captage de Cornesse avaient montré leur intérêt pour la technique du sous-semis en maïs. Protect’eau, avec l’aide du Centre indépendant de promotion fourragère (Cipf), a concrétisé l’idée en mettant en place des essais.
Après le traitement des cultures, le passage obligé pour l’agriculteur consiste à bien nettoyer son pulvérisateur. Quelques règles sont à respecter pour protéger l’environnement et l’eau. Où et comment procéder au nettoyage sont les deux principales interrogations qui remontent du terrain.
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