Le FA²C rassemblera plusieurs centaines d’agriculteurs, les 19 et 20 juin

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Voir l'offre d'abonnementLe choix des variétés les plus adéquates constitue une étape importante lors du semis des prairies permanentes et temporaires. Au sein du Centre Pilote Fourrages Mieux, les partenaires confrontent chaque année les résultats des essais comparatifs établis dans différentes régions naturelles. Le but : définir les variétés les mieux adaptées aux différents types d’exploitation.
Dans sa lettre d’information printanière, Vegaplan rappelle l’importance de combattre le datura stramoine, en raison de sa toxicité aiguë pour l’homme et les animaux.
Lors des observations réalisées cette semaine par l’Irbab, très peu de pucerons verts aptères ont été observés.
Au vu des semis échelonnés dans le temps, le nombre de traitements déjà appliqués varie beaucoup entre les différentes parcelles. L’occasion pour l’Irbab d’effectuer, dans son message du 21 mai, quelques rappels pour les différents FAR.
Dans les parcelles suivies, les blés durs sont entre le stade début épiaison (BBCH 51) et le stade début floraison (BBCH 61) pour les variétés les plus avancées.
La grande majorité des froments a dépassé le stade dernière feuille étalée (BBCH 39) et se dirige vers le stade épiaison (BBCH 51-59). Les variétés plus hâtives comme Campesino ou RGT Perkussio sont déjà à la fin de l’épiaison (BBCH 57-59) voire au début de la floraison (BBCH 61).
Sur la base des résultats des essais réalisés en 2022 et 2023, neuf variétés de betteraves sucrières ont été admises au catalogue national des variétés d’espèces de plantes agricoles.
Les cultures maraîchères sont très sensibles aux défauts du sol. Il est donc important d’orienter les travaux aratoires pour assurer aux plantes le meilleur développement possible des racines. Si les quelques jours de cette première décade de mai, moins pluvieux, ont permis de les réaliser, dans de nombreuses régions, les sols sont à peine ressuyés. La terre s’y travaille très mal, reste compacte et froide. Sur ces sites et chaque fois que c’est possible, il est préférable d’attendre avant d’intervenir au risque de dégrader la structure pour de nombreux mois.
Alors que les semis touchent à leur fin, il est temps de surveiller l’arrivée éventuelle des pucerons.
La jaunisse virale constitue un véritable problème en betteraves sucrières, accentué par la disparition des enrobages de semences à base de néonicotinoïdes. Pour minimiser l’impact de cette maladie, une stratégie reposant sur quatre piliers doit être adoptée, dans l’attente de voir de nouvelles solutions émerger.
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