La superficie agricole bio recule légèrement, mais le consommateur wallon reste fidèle

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Voir l'offre d'abonnementLes chiens de troupeaux peuvent être de véritables alliés pour les éleveurs. Des animaux dits de conduite, pour aller rechercher les bêtes en prairie, les diriger, séparer les lots… Mais également de protection, afin d’éviter les attaques comme celles perpétrées par des loups ou encore des renards. Afin d’en savoir plus sur ces canidés, nous sommes partis à la rencontre de Jean-Luc Censier. Accompagné de son Border Collie, Noï, il nous a accueillis dans les campagnes de Doische, où son troupeau de moutons obéit au doigt et à l’œil, guidé avec précision par le chien et son maître.
Que l’on soit éleveur ou consommateur, impossible de l’ignorer : ces derniers temps, le prix de la viande bovine monte en flèche. Une augmentation, estimée à environ 2 €/kg, complètement inédite, qui redistribue les cartes dans la filière. Benoit Cassart, ancien secrétaire général de la Fédération du commerce de bétail et de viande, eurodéputé, mais aussi éleveur, nous apporte son regard sur cette situation, de ses causes à ses opportunités.
Alors que la différenciation par la qualité et les labels constitue une stratégie de résistance, elle se heurte à une multiplication des certifications (Fairtrade, Bio, Haute Valeur Environnementale, etc.), induisant un véritable flou. Avec un engouement qui s’estompe auprès du grand public, comment garantir la pérennité de ces filières ? Les Systèmes participatifs de garantie (SPG) pourraient-ils représenter une alternative viable pour renforcer la résilience des filières locales en recréant un lien direct entre producteurs et consommateurs autour d’une charte de production co-construite ?
Les prix des bovins connaissent une forte hausse, selon la Febev, la Fédération belge de la viande qui représente des abattoirs, ateliers de découpe et grossistes. Les cheptels sont décimés par des maladies, ce qui diminue l'offre. Par ailleurs, à terme, le consommateur risque de devoir payer davantage pour son steak.
Comment produire une viande bovine plus respectueuse de l’environnement, en phase avec les défis climatiques ? Cette question est au cœur du projet Blanc Bleu Vert. Lancée en 2022, cette recherche a déjà permis de mettre en lumière plusieurs résultats scientifiques prometteurs grâce aux tests réalisés sur différents sites. Parmi eux : le centre de sélection bovine d’Ath. Une infrastructure qui a ouvert ses portes ce 11 mars. L’opportunité d’y parler d’alimentation animale, de génétique ou encore de réduction de méthane.
Le 5 février, l’Afsca a imposé une interdiction temporaire des rassemblements de volailles (foires, shows, concours, expositions, foires…). La situation épidémiologique ne s’étant pas améliorée ces dernières semaines, l’Agence a décidé de prolonger cette mesure jusqu’au 31 mars.
Suite à la récente campagne du SPF Économie « Faites preuve de bon sens paysan, vérifiez l’étiquette » et à l’approche de la Journée internationale du consommateur, la Confédération belge de l’industrie laitière (CBL) affine sa vision : un drapeau belge sur l’emballage du lait ne signifie plus seulement « transformé en Belgique », mais également « fabriqué avec du lait 100 % belge ».
La saison de pâturage 2025 va bientôt commencer. Dans les tableaux, ci-dessous, se trouvent les conditions qui seront fixées dans le cadre du pacage frontalier tant pour la fièvre catarrhale ovine (FCO) que pour la rhinotrachéite infectieuse bovine (IBR) avec la France, les Pays-Bas et le Grand-Duché de Luxembourg.
Devenues des cultures à part entière, les prairies requièrent un entretien adéquat et adapté à leur état. En témoignent l’offre grandissante des semenciers mais aussi le panel de matériels agricoles mis sur le marché. En effet, ceux-ci ont fortement évolué, au même titre que les exigences des éleveurs, toujours plus nombreux à viser l’autonomie fourragère et la récolte d’un fourrage de haute qualité.
Lorsque les premiers rayons du soleil pointent le bout de leur nez, nous sommes nombreux à en profiter pour travailler dans le jardin. Et pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable en y accueillant des poules ? Pondeuses ou d’ornement, il en existe des centaines de sortes, chacune avec leurs caractéristiques bien particulières. À Wasseiges, en province de Liège, Clémence Dosimont en a fait son métier et nous a ouvert les portes de son élevage, où une quarantaine de races sont représentées.
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