Mycotoxines en maïs grain: une année à risque négligeable











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Trente ans ! C’est un cap que passe le Service d’inspection des pulvérisateurs qui, tous les trois ans, contrôle près de 6.000 engins en Région wallonne. L’occasion de dresser un bilan de ces trois décennies mais aussi de retracer l’historique de ce service qui s’assure, jour après jour, que le fonctionnement des outils de pulvérisation est sûr, tant pour l’utilisateur que pour l’environnement.

Les premiers champs d’escourgeon lèvent doucement et, dans les parcelles les plus précoces, certaines plantes ont déjà atteint le stade « 1 feuille ». Les premières observations signalent la présence de quelques pucerons, favorisée par les récentes journées ensoleillées.

La culture de colza d’hiver présente des situations très diverses. En fonction de la date de levée, les stades varient entre 2 et 7 feuilles, avec une majorité des plantes entre 3 et 5 feuilles (BBCH 13-15). Une hétérogénéité est également visible au sein de plusieurs champs, traduisant les levées échelonnées.

Les températures favorables, conjuguées à une absence de pluie, permettent aux grains de poursuivre leur dessiccation. Les récoltes de grains à sécher vont commencer, notamment en cas de semis précoces.

Les conditions climatiques mitigées de la semaine dernière n’ont permis une augmentation de la teneur en matière sèche du maïs fourrage que de 1 à 2 %, seulement, en Ardenne.







Chez nous, le radis fait partie des légumes classiques. Comme pour plusieurs autres espèces, le marché de gros des radis est largement approvisionné par des entreprises spécialisées et le commerce est international. À côté de celui-ci, il y a une demande de production locale trouvant sa place dans les fermes maraîchères diversifiées.

La récolte belge de céréales 2025 marque un retour à la stabilité après plusieurs années perturbées par des conditions climatiques extrêmes. Les rendements se situent autour, voire légèrement, au-dessus des moyennes de long terme, la pression des maladies est restée exceptionnellement basse et la qualité s’est révélée homogène et élevée, avec de bons poids à l’hectolitre.

Alors que le réchauffement climatique bouleverse les équilibres agricoles mondiaux, la viticulture belge, longtemps considérée comme marginale, émerge comme un nouvel eldorado œnologique. Grâce aux avancées scientifiques en climatologie appliquée, les acteurs de la filière prennent conscience de leur potentiel, mais aussi des risques qui pèsent sur l’avenir du vin. Le climatologue Sébastien Doutreloup, a dressé, lors d’une conférence, un état des lieux nuancé et prospectif de cette mutation en cours, entre opportunités inédites et défis redoutables.

La météo de ces derniers jours a permis au maïs de perdre en humidité. Avec un état sanitaire qui reste bon, il faut toutefois prêter attention aux parcelles plus avancées qui présentent un risque de verse. Les récoltes se poursuivent.

Le Centre Pilote Maïs observe une progression moyenne de la maturité jusqu’à 3 % de matière sèche dans les régions plus favorables et une avancée plus lente en Ardenne.
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