À l’échelle de la Wallonie, quel est l’impact du changement climatique sur les grandes cultures?











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L’approvisionnement en eau constitue l’un des points techniques les plus importants pour les cultures maraîchères, qui ont en besoin pour assurer leur croissance rapide. Les plantes repiquées possèdent un enracinement plus superficiel, incapable d’explorer les réserves hydriques profondes du profil de sol. Et sous abri, les cultures dépendent entièrement des apports par irrigation.

Le type de céréales, la parcelle et les conditions de semis sont autant de paramètres à prendre en compte pour raisonner le désherbage à l’automne. François Henriet dispense ses recommandations en la matière dans le Livre Blanc de septembre 2025.

Les estimations de vendanges 2025 en France ont été revues à la baisse pour atteindre un volume comparable à celui déjà faible de 2024, du fait notamment de l’impact de la canicule du mois d’août, a indiqué mardi le ministère de l’Agriculture.

Dans les conditions sèches actuellement rencontrées, il convient de prendre le plus grand soin des tubercules. Et ce, pour éviter les coups bleus et autres endommagements.

Au sein d’une agriculture européenne en quête de sens et d’équilibre, la filière banane de Guadeloupe et de Martinique apparaît comme un exemple à la fois vertueux et menacé. Pionnière en matière de transition agroécologique, elle illustre aussi les contradictions d’un modèle agricole soumis à des impératifs environnementaux croissants, sans accompagnement économique à la hauteur. C’est ce qu’explique Agathe Huart, directrice générale du groupe Castri, acteur clef de la filière bananière aux Antilles.







Les conditions climatiques généralement bonnes de la semaine dernière ont permis une augmentation de la teneur en matière sèche du maïs fourrage de l’ordre de 2 à 3 % en Ardenne.

Les premières observations de ce début d’automne ont démarré ce 6 octobre.
Les semis les plus précoces, réalisés
fin septembre, ont désormais atteint
le stade « 2 feuilles », tandis que
les derniers champs seront semés
cette semaine.

La situation en colza d’hiver est assez calme actuellement, quoique variable d’un champ à l’autre. La surveillance continue même si les températures fraîches s’installent.

Durant la semaine écoulée, les grains ont poursuivi leur dessiccation, avec une différence observable entre les semis d’avril et ceux de mai. Ce qui se traduit également dans la possibilité de récolter, ou non, les parcelles.

Les États membres de l’UE ont validé, le 19 septembre dernier, la proposition de la commission européenne d’autoriser l’utilisation d’engrais RENURE au-delà de la limite d’épandage d’effluents d’élevage fixée par la directive Nitrates.
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