Cultures

Depuis cette récolte 2017, les collecteurs belges doivent, conformément à la Feed Chain Alliance (FCA, ex GMP), réaliser au moins 80 % de leurs achats de céréales auprès d’agriculteurs belges certifiés pour le Standard Vegaplan. La réalité sur le terrain pose problème.

Avec une production grimpante en Inde et dans l’Union Européenne, l’offre de sucre devrait excéder la demande après deux années consécutives de déficit, estime l’Association internationale du sucre (ISO) dans son rapport trimestriel.

Le nombre de porcs élevés en Belgique est tombé à 6,18 millions l’année passée, soit le chiffre le plus bas des trente dernières années, ressort-il des statistiques du SPF Economie sur l’agriculture. Le nombre de poulets a quant à lui bondi de 14% et n’a jamais été aussi élevé.

La campagne qui vient de s’écouler a démontré l’importance d’une bonne implantation qui conditionne la réussite de la culture. De fait, les semences qui ont pu germer rapidement après le semis de l’automne dernier ont connu une levée régulière et un bon enracinement grâce au pivot racinaire des plantes qui cherchait l’eau en profondeur, dans un sol déjà marqué par la sécheresse.

Le navet retrouve de intérêt notamment en vente directe. Les semis se feront par lots de taille modeste pour assurer la vente d’un légume encore jeune au goût délicat. Il a sa place comme légume primeur et pour la production de proximité dans les fermes maraîchères diversifiées.

Depuis 8 ans, la Foire de Libramont met en avant le métier d’agriculteur, sa richesse, sa créativité, sa diversité, son impact social, environnemental, sociétal. Voici un rapide portrait des cinq « agriculteurs de valeurs » mis en lumière lors de cette édition 2017.

Le changement climatique va faire baisser les rendements de cultures comme le riz, le blé ou encore le maïs, selon les conclusions d’une équipe de chercheurs.

En dépit d’une sécheresse présente depuis le semis jusqu’à la récolte, le colza d’hiver a prouvé, à travers les rendements obtenus, sa grande capacité à résister à des conditions climatiques parfois extrêmes.

Cette année, à la faveur des conditions météorologiques favorables, les doryphores sont réapparus massivement dans les cultures de pommes de terre, tant sur les parcelles professionnelles que dans les potagers privés. Ces ravageurs occasionnent d’importants dégâts en détruisant totalement le feuillage.

Le développement des maladies foliaires en culture betteravière se poursuit : plus de 85 % des parcelles observées par l’Irbab atteignent le seuil d’un premier traitement pour au moins l’une des 4 maladies majeures.