L’obligation de vaccination des bovins et ovins approuvée en commission











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Deux belles victoires au plus haut niveau ont convaincu les lecteurs du Sillon Belge et du Landbouwleven de voter pour Sherlock comme « Cheval de l’année » ! Pour ce hongre de 11 ans, 2024 était, en effet, exceptionnelle. Et ce n’est pas fini puisqu’il semble être en bonne voie pour poursuivre sa carrière sur les plus prestigieuses pistes d’obstacles.

La nouvelle commission européenne prend peu à peu ses marques. Les commissaires finalisent leurs cabinets et commencent à travailler sur leurs premiers dossiers. C’est le cas de Christophe Hansen qui doit présenter début 2025 sa Vision pour l’avenir de l’agriculture européenne.

Si la viande de volaille s’affiche en net progrès, tant sur le plan de la production que des exportations, la dynamique est différente pour les autres filières. Ainsi, la situation sanitaire actuelle pèse lourdement sur le secteur ovin, tandis que la filière porcine fait face à une concurrence accrue du Brésil et des États-Unis. Quant à la viande bovine, elle voit ses exportations croître, bien que l’offre s’affaiblisse.

La commission de la Santé de la Chambre a mis un coup de pression mardi sur le gouvernement d'affaires courantes et sur les négociateurs de l'Arizona pour débloquer le financement, par le Fédéral, de la vaccination obligatoire du bétail touché par la fièvre catarrhale.

La direction de l’analyse économique agricole de la région wallonne a dévoilé, le 6 décembre dernier, les chiffres clés de l’agriculture pour l’année 2023.







Accord conclu. L’UE et les pays du Mercosur ont finalement annoncé, le 6 décembre dernier, être parvenus à un accord sur le traité de libre-échange, en pourparlers depuis 25 ans. Alors que les agriculteurs wallons bloquaient les axes routiers pour faire entendre leur mécontentement à la classe politique, la présidente Ursula von der Leyen scellait triomphalement, en Uruguay, la fin des négociations. Comme un ultime pied de nez au secteur agricole européen.

Si le règlement Reach oblige, dans une certaine mesure, à déclarer les co-formulants contenant des nanomatériaux, le cadre réglementaire sur les phytos ne dit rien sur les matières actives nanos ou leur étiquetage. Pourtant, d’autres règlements sectoriels, comme les cosmétiques et les biocides, visent spécifiquement les nanomatériaux. Cette hétérogénéité s’explique par un manque de définition contraignante à niveau européen.

Après 25 ans de négociations, l’UE et les pays du Mercosur (Argentine, Brésil, Paraguay et Uruguay) ont officiellement annoncé ce 6 décembre à Montevideo (Uruguay), avoir finalisé leurs discussions en vue d’un accord de libre-échange.

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé jeudi avoir atterri en Amérique latine, avec en vue l’aboutissement de l’accord de libre-échange controversé avec les pays du Mercosur.

Si de nombreuses mesures visent à limiter les risques liés à l’usage de produits phytosanitaires, l’évaluation des matières actives devient plus stricte, entraînant davantage de retraits que d’homologations. Pour concilier disponibilité des phyto et réduction de leurs impacts sur la santé et l’environnement, deux pistes émergent : favoriser l’accès aux moyens de protection à faible risque et préserver les solutions existantes en les couplant à une application ciblée.
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