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À la Ferme du Faascht, on fait pousser des tomates, de l’énergie et du sens

Economie La route s’égare, piquetées à l’infinie de jaune, du minuscule et de l’imprévisible, les prairies. Fin de printemps, dans la justesse d’un souffle, tremblant dans son envol, lumineux dans son déclin. Des myriades de fleurs brûlantes de lumière. Comme une trappe dans le ciel, des chapelets de soleil, des effilochés de nuages dociles et ventrus. Il dit ce qui délivre, il dit ce qui tourmente. Clairière à droite, à quelques mètres de la frontière luxembourgeoise, la Ferme du Faascht. Mélody Kessler, Ludovic Peter et David Feller y ont réinventé la notion même d’exploitation agricole, en mêlant autonomie énergétique, valorisation des déchets, innovations agronomiques et sobriété hydrique.
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Dimanche ou lundi, c’est pareil

C’était le week-end de l’Ascension, celui de la Pentecôte va suivre. Les gens en profitent pour faire des ponts. D’autres des viaducs. Bref, la moitié de la société occidentale est en congé, si pas plus. Les gens sont épuisés. Littéralement, au bout du rouleau. Ils recherchent le calme, ils veulent « déconnecter » et en même temps se reconnecter à la nature. Puis ça jure parce qu’il n’y a pas de réseau (P’tin, réseau de m*EDGE !).

De multiples services, requérant suffisamment de matière organique

Pour un agriculteur, les sols cultivés font figure de biens précieux. À ce titre, ils méritent la plus grande attention mais aussi l’adoption de pratiques permettant de stabiliser, si pas d’accroître, leur teneur en matière organique dont les atouts sont loin d’être négligeables.

Le choix des lecteurs

«L’Europe doit réarmer son agriculture»

Quel avenir pour l’agriculture européenne ? Cette question, qui préoccupe autant les agriculteurs que les décideurs, anime les débats au sein des institutions européennes, sur les routes des manifestations et dans les exploitations. Nous avons écouté puis questionné Arnaud Rousseau, président de la Fnsea, qui appelle les autorités européennes à engager un changement stratégique profond, plaçant le revenu des agriculteurs au cœur des politiques agricoles, une condition indispensable pour assurer la pérennité et la compétitivité du secteur.

Pâturage ovin des couverts d’interculture: une collaboration «gagnant-gagnant»

Verra-t-on bientôt de plus en plus de moutons pâturer les couverts d’intercultures dans les campagnes wallonnes ? En tout cas, cette pratique semble avoir le vent en poupe… Logique, puisqu’elle comporte de nombreux avantages, tant pour l’éleveur que pour le cultivateur. Un partenariat « gagnant-gagnant » à mettre en place en respectant plusieurs précautions, notamment sanitaires, pour qu’il tienne toutes ses promesses.