Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementL’invasion russe en Ukraine n’est pas sans conséquence sur les marchés agricoles, en particulier au niveau des céréales et intrants agricoles. Les marchés de la pomme de terre sont également « hésitants ».
La commission a adressé une lettre de mise en demeure (première étape de la procédure d’infraction de l’UE) à la Lituanie concernant sa législation imposant des exigences spécifiques d’étiquetage sur la qualité des produits à base de viande fabriqués dans d’autres États membres (classification des produits en différentes catégories en fonction de leur qualité).
Les prix des céréales ont atteint jeudi matin des niveaux record en séance sur le marché européen, avec un pic totalement inédit pour le blé à 344 euros la tonne sur Euronext, ont indiqué des analystes et courtiers à l’AFP.
Après plusieurs reports, la commission devrait publier le 23 mars sa proposition de règlement sur la restauration de la nature.
Sous la houlette de Julien Denormandie, les ministres européens de l’Agriculture mènent actuellement une réflexion commune sur les modèles agricoles et forestiers en faveur du climat. Outre la mise en place de systèmes bas carbone, ils ont évoqué la piste d’un cadre commun de certification au niveau européen qui puisse concilier robustesse scientifique, facilité de mise en œuvre et rémunération incitative pour les agriculteurs.
Les surfaces cultivées en agriculture biologique ont continué de progresser dans le monde en 2020. C’est particulièrement le cas dans l’UE où elles ont augmenté de 5,3 %, (soit plus de 700.000 hectares supplémentaires) et représentent désormais 9,2 % des surfaces, même si ce taux de croissance se tasse depuis quelques années. La France est devenue le premier pays de l’UE en termes de surfaces bio tandis que le marché des produits bio a profité de la pandémie de Covid-19 pour enregistrer un niveau de croissance record.
Le producteur laitier néerlandais FrieslandCampina juge une augmentation du prix de ses produits indispensable en raison de la hausse du coût des matières premières. L’entreprise, connue entre autres pour ses marques Cécémel et Fristi, doit verser des prix plus élevés aux éleveurs et considère la hausse de l’inflation comme son plus grand défi pour l’année en cours.
Autant de substantifs, d’adjectifs qui définissent la démarche d’éleveurs de Blanc-Bleu Belge mus par leur volonté mâtinée de passion, de promouvoir leur produit d’exception dans le secteur de HoReCa. De cette philosophie est née la marque labélisante « Bleu Vallon », fruit d’un partenariat entre l’Asbl Blanc-Bleu Belge Promotion, Faircoop et BELGIUMeats, dont les contours ont été dévoilés le 18 février dernier au cœur de l’exploitation de la famille Coheur à Awans.
Actée en avril 2015, la suppression des quotas sucriers n’a pas eu un réel impact sur la viabilité économique des principaux acteurs du secteur, conclut une récente étude commandée par la commission européenne.
La commission européenne a une nouvelle fois assuré que des produits comme la viande ou le vin, régulièrement mis en cause par les récentes stratégies environnementales de l’UE ne seront pas exclus des programmes de promotion dans le cadre de la révision de la législation attendue cet été.
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