Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnement
Les cultures maraîchères sont très sensibles aux dégâts sur plantules, aux lésions sur le légume et à la présence de ces ravageurs entre les feuilles et dans les pommes (laitues, chicorées, choux). Voyons comment lutter.
Après avoir interdit l’entrée de saisonniers sur son territoire, par crainte des risques potentiels en termes d’épidémie, l’Allemagne fait machine arrière!
En raison des mesures de prévention prises pour limiter la propagation du Covid-19, de nombreux travailleurs saisonniers européens ne peuvent plus se rendre en Belgique pour travailler et ce, alors que la saison de récolte de nombreux fruits et légumes est imminente. Le Conseil des ministres a donc décidé de permettre aux travailleurs occasionnels des secteurs de l’agriculture et de l’horticulture de travailler plus longtemps, afin de s’assurer qu’il y aura suffisamment de cueilleurs pour faire face aux besoins.
Malgré l’opposition des organisations agricoles du pays, l’Allemagne a interdit l’entrée sur son territoire des travailleurs saisonniers étrangers.
Au lancement d’une activité de production maraîchère, bien sûr, la position géographique du point de vente, la qualité des sols, la disponibilité en eau et en énergie sont importants. Mais la main-d’œuvre est le premier facteur de production!
Le maraîchage diversifié sur petites surfaces – soit cultiver jusque 40 à 60 légumes différents sur une surface allant de 30 ares et 2 ha environ – attire de plus en plus de candidats. Le constat est toutefois alarmant : beaucoup d’exploitations disparaissent endéans les cinq ans. La faute à quoi ? La concurrence du « bio » des grandes surfaces ? La pénibilité physique du métier Rencontre avec Anne à Haltinne.
En Wallonie, quelque 350 personnes exercent le métier de maraîcher, producteur de légumes pour le marché du frais, à titre principal ou complémentaire. Cette activité attire aujourd’hui de nombreux jeunes. Très exigeante, elle demande une parfaite organisation, une grande polyvalence, du soutien technique et économique… et des débouchés. Voici un rapide éclairage sur ce secteur et ses perspectives de développement en compagnie de Claire Olivier, du Centre interprofessionnel maraîcher.
Les autorités françaises ont confirmé que le très virulent virus de la tomate ToBRFV, qui sévit dans plusieurs pays européens, a été détecté dans une exploitation française, le ministre de l’Agriculture affirmant mardi que la situation était «sous contrôle».
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement