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La vaccination subsidiée: «L’opportunité de ne pas rééditer la catastrophe de 2024!»

Bovins Comme de nombreux vétérinaires, Jean-Philippe Demonty n’est pas près d’oublier 2024 : une année noire en raison des insectes et de leurs conséquences, parfois mortelles, sur les animaux. Cependant, à l’instar d’autres professionnels de la santé animale, il insiste sur le fait que la vaccination ne constitue pas seulement une obligation. C’est aussi l’opportunité d’éviter de revivre la catastrophe de ces derniers mois.
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Modification dans l’organisation de la campagne hivernale de monitoring des troupeaux

Chaque année, l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire sollicite les détenteurs de bovins et leur vétérinaire d’épidémiosurveillance pour réaliser un monitoring en 3 volets pendant la période hivernale. Toutefois, pour la période 2024-2025, des changements notables ont été apportés dans l’organisation de cette surveillance en raison de l’épidémie de fièvre catarrhale ovine.

Une demande dynamique...mais une offre en retrait dans plusieurs pays pour la viande bovine

Durant cet automne, les abattages de bêtes sont dynamiques sur le Vieux continent, notamment concernant les jeunes bovins en Espagne, en France et en Pologne, pour lesquels les prix s’envolent. L’Irlande, elle, se démarque par l’augmentation de ses vaches de réforme. Toutefois, cette tendance à la hausse ne suffit pas à combler la baisse de production de certains pays ainsi que la demande européenne et méditerranéenne.

Détecter et résoudre les troubles de fertilité chez les vaches laitières

La fertilité est un facteur crucial qui détermine les performances d’une vache tout au long de sa vie. Pour les laitières, comme pour les viandeuses, assurer un intervalle régulier entre deux vêlages est essentiel. Cependant, il se peut que des troubles et dysfonctionnements du système reproducteur surviennent, que ce soit pour des raisons génétiques, fonctionnelles ou environnementales.

Le séchoir à foin de la ferme des Queuwys? Un système qui a réussi à faire ses preuves!

Opérationnel depuis 2019, le séchoir à foin de la ferme de Queuwys à Froidchapelle semble tenir toutes ses promesses. Si l’investissement est, il est vrai, conséquent, il a permis à ces éleveurs de constater des améliorations tant pour la santé de leurs vaches qu’au niveau de la qualité de leur fromage, en passant par leur confort de travail. Des résultats chiffrés puisque ces agriculteurs ont décidé de prendre part à différentes études dont les conclusions sont plus qu’encourageantes !

Apprendre à devenir un as de l’insémination… tout en respectant l’animal!

L’insémination fait désormais partie intégrante du métier d’éleveur. Néanmoins, cet acte requiert une bonne dose… de connaissances pratiques, mais aussi théoriques ! C’est pourquoi, à Ath, la Province du Hainaut propose des formations destinées aux étudiants et aux agriculteurs. Des cours qui ont évolué au fil des années pour préparer au mieux les (futurs) professionnels à cette tâche, sans pour autant empiéter sur le bien-être des vaches.

Le choix des lecteurs

Pourquoi utiliser un scanner métabolique dans les troupeaux?

Chaque élevage est différent et chaque détail compte. Économiquement, il est aujourd’hui primordial de proposer aux agriculteurs les meilleurs outils d’analyses nécessaires au maintien de l’équilibre sanitaire de leur cheptel. C’est notamment le cas du scanner métabolique, proposé par l’Arsia, soit un support qui permet de prendre une photo métabolique générale du troupeau laitier, et d’estimer de cette manière les bovins à risque.

Plus de 9 jeunes bovins sur 10 souffrent de lésions au pied!

Combien de jeunes bovins souffrent de blessures au pied ? Quelles sont les races les plus impactées ? C’est notamment à ces questions que répond le projet Feedlame lancé en 2023 par l’Institut de l’élevage français. Au total, 8.000 pieds ont été examinés post-mortem. Sur cet échantillon, les résultats sont sans appel puisque 95 % de ces animaux en fin d’engraissement présentaient au moins une lésion podale !

Un meilleur revenu grâce à la Normande : le pari gagnant de Laval Dreams

À la ferme Laval Dreams, près de Rennes, la race Normande est reine. Jean-Michel Arondel y élève 110 vaches et environ 125 génisses. Une partie de la production laitière et de viande est vendue directement dans leur petite boutique. Charcuterie, tomme, camembert, fromage blanc… sans oublier les incontournables lait et beurre, il y en a pour tous les goûts. Pour en savoir plus sur cette exploitation en polyculture-élevage, direction Amanlis, un village breton situé non loin de Rennes, où se tenait le salon Space.