Un parcours entièrement dédié à l’innovation dans la filière bois











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Si les noisetiers conduits en buissons se rencontrent fréquemment dans nos jardins, il n’en va pas de même pour les châtaigniers et les noyers. L’ampleur que prennent ces arbres haute-tige ne permet de les implanter que dans des parcelles de dimensions plus importantes, dans un contexte de culture extensive. Néanmoins, comme les noisettes, ils méritent d’être mieux connus des fruiticulteurs.

Le Grand-Duché de Luxembourg va installer une clôture le long d’une portion de la frontière avec la Belgique, afin de se prémunir contre la peste porcine africaine, a annoncé le ministère luxembourgeois de l’Agriculture, de la Viticulture et du Développement rural.

Inauguré début février, le premier parc à grumes de Wallonie proposait jeudi à la vente 65 bois de qualité exceptionnelle, principalement des chênes âgés en moyenne de 250 ans. «Le prix moyen des chênes s’affiche à 890 euros/m³. Un arbre exceptionnel de 7,7 m³ s’est même vendu au prix record de 17.671 euros, soit près de 2.300 euros/m³», s’est réjoui vendredi le ministre wallon de la Nature et de la Forêt, René Collin.

Le mode d’entretien et d’exploitation du sol choisi pour une parcelle d’arbres et d’arbustes fruitiers peut différer selon les cas (verger intensif ou extensif) et les années. Dans le choix opéré, il faudra toujours privilégier prioritairement un bon fonctionnement des plants fruitiers.

Comment concevoir un verger familial ? Comment compléter l’assortiment présent ? Alors que nous sommes en hiver, saison idéale pour réaliser des plantations en dehors des périodes de gel, nous vous aidons à faire les choix qui répondent à ces deux questions.







Appartenant au genre Prunus, comme les pruniers et cerisiers, les abricotiers, pêchers et amandiers méritent eux aussi une place dans nos vergers. Bien que demandant des conditions climatiques et pédologiques particulières, ils sauront gâter de délicieux fruits les plus patients d’entre nous.

Ancrées dans nos vergers depuis plusieurs siècles, les espèces fruitières que nous cultivons ne sont que rarement originaires de nos régions. Outre leur carte d’identité distincte leur comportement est lui aussi bien différent, com-me nous allons le découvrir.

Par rapport à la période précédente (printemps – été 2018), les prix moyens des épicéas des catégories 20-39 et 40-59 et des autres résineux sont inchangés. Pour les autres catégories d’épicéa (60-69, 70-89, 90-119, 120-149, 150-179 et 180 et +), les prix sont en baisse.

Selon une première estimation, le volume d’épicéas touchés par les scolytes en Wallonie s’élève à quelque 400.000 m3, a-t-on appris lundi auprès de l’Office économique wallon du bois (OEWB).

Après l’ensoleillement de ces derniers mois, et la sécheresse, les fruits sont plus petits mais particulièrement sucrés.
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