Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementL’économie européenne, et le secteur agricole avec elle, ne retrouvera pas son niveau d’avant la pandémie de Covid-19 avant 2023. La Commission européenne espère, à moyen terme, favoriser une reprise verte qui ferait baisser les prix intérieurs et favoriserait les exportations.
Cultiver des espèces dites « exotiques », modifier notre assortiment variétal, irriguer les parcelles… ne sont que quelques-unes des pistes évoquées pour adapter nos vergers aux changements climatiques et plus particulièrement à l’élévation attendue des températures. Mais quel sera l’impact de ce phénomène sur les bio-agresseurs, sur le développement des adventices ou encore sur la qualité des fruits ? Les questions sont nombreuses, tout comme les incertitudes. Ce qui complique la prise de décision !
Le réchauffement de notre climat, amorcé durant le premier tiers du 19ème siècle, tend à s’accélérer depuis le milieu du 20ème siècle. Les relevés effectués ces vingt dernières années confirment ce constat, ce qui n’est pas sans conséquence sur l’arboriculture fruitière. Professionnels et amateurs font face à de nouveaux défis !
Le week-end de la Sainte Catherine, les 28 et 29 novembre, se tiendra la traditionnelle distribution de plants au grand public dans 45 communes wallonnes, avec le concours du Service public de Wallonie.
Par rapport à la période précédente (printemps – été 2020), les prix moyens des épicéas sains des catégories 60-69 et supérieures s’affichent en baisse. En ce qui concerne les autres résineux, un recul des prix quasi généralisé est observé pour les pins sylvestres et pins de Corse. Notons néanmoins une hause des prix des douglas des catégories supérieures (150-179 et 180 et +).
Les ouvrages publiés au cours des 18ème, 19ème et 20ème siècles regorgent d’informations témoignant des progrès scientifiques et techniques que l’arboriculture fruitière a connus au fil du temps. Depuis, les connaissances ont certes évolué, mais bon nombre de ces enseignements conservent leur utilité, aujourd’hui encore. Les techniques anciennes et nouvelles peuvent ainsi être associées au verger.
L’impact économique de la crise des scolytes ainsi que la baisse d’activité liée au COVID-19 ont de lourdes conséquences sur les 8.000 entreprises liées à la production de bois en Wallonie. 18.000 emplois directs sont en jeu.
À partir du 19ème siècle, l’engouement pour l’arboriculture chez les amateurs de jardinage a fait naître un grand nombre d’ouvrages techniques que l’on peut encore trouver chez certains bouquinistes, dans les bibliothèques publiques ou privées ainsi que, parfois, dans les brocantes. C’est justement à un voyage dans le monde des livres et des périodiques qui parlent de culture fruitière que nous vous convions cette semaine.
« L’urgence de la forêt wallonne est de replanter 15 millions d’arbres », dit NTF. Les Propriétaire ruraux de Wallonie organisent le 15 octobre à La Bruyère une conférence du secteur sur le thème « Wallonie-Europe : quelles politiques forestières ? », en présence des ministres Céline Tellier et Willy Borsus.
En matière de poires, les pépinières belges proposent de quoi satisfaire largement l’amateur le plus exigeant. Une quarantaine de variétés est en effet disponible dans notre pays, véritable berceau du poirier moderne. On veillera néanmoins à limiter ses choix en fonction de la place disponible dans le jardin tout en sélectionnant des variétés permettant d’échelonner la consommation.
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