Prévenir et gérer les maladies pour des plantes en bonne santé

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Voir l'offre d'abonnementTout est relatif, c’est certain : dans les domaines de l’agriculture et de l’horticulture, les professionnels ont été confrontés à énormément de difficultés dans les champs, des défis sans commune mesure avec d’autres secteurs. Cependant, il est tout aussi crucial de considérer l’engorgement des sols dans nos potagers. Cette attention est essentielle pour garantir une reprise normale des activités au printemps.
Le jardin potager traditionnel est en plein air, recevant composts et fumiers pour produire légumes, fruits et fleurs près de l’habitation ou en périphérie urbaine. Pour les jardiniers sans espace extérieur adéquat, les bacs de cultures sont une alternative, souvent installés sur balcon, terrasse ou autres surfaces non propices à la culture en pleine terre. La culture hors sol est une autre forme de jardinage.
Pour certains jardiniers, le plaisir du jardinage permet de produire douze mois sur douze. Chez ceux-là, il reste encore pas mal de légumes différents au potager. Les planifications des semis, des plantations et la diversité des espèces se complètent. En effet, récolter des légumes frais toute l’année demande une réelle organisation ainsi qu’une bonne planification.
Le compost joue un rôle important pour obtenir des récoltes fructueuses. Et afin de préparer au mieux ses plantations pour 2024, le jardinier devra choisir quelles seront les méthodes qu’ils souhaitent employer, en fonction de son type de cultures, mais aussi de l’endroit où se trouve son potager.
Le jardinier qui choisit de ne pas bêcher son potager peut choisir la technique du paillis permanent. Le principe est de protéger le sol avec une couche d’origine végétale. L’eau de pluie peut pénétrer dans la terre, tandis que le paillis empêche un grand nombre d’espèces de plantes sauvages de germer. Ce dernier reste en place en été et limite l’évaporation d’eau.
Au potager, les travaux de semis, de plantation, de récoltes et de tailles sont en cours depuis la fin de l’été. Les années se suivent et ne se ressemblent pas nécessairement. Actuellement, des cultures sont observées à des dates particulièrement tardives. Les plantations retardées en mai et une fin d’été propice à la croissance ont favorisé ces situations.
Melothria scabra est une plante maraîchère de la famille des Cucurbitacées. Cette plante est aussi désignée sous plusieurs appellations : concombre du Mexique, concombre melon, mini pastèque, concombre à confire ou cucamelon. Dans les pays chauds, la plante est vivace. Sous notre climat, elle est cultivée comme annuelle.
Le melon se cultive en serre ou en couche, tandis qu’en plein air, les résultats dépendent de la météo… C’est pourquoi les jardins protégés des vents et du nord sont mieux adaptés que ceux en plein-vent. L’avantage de produire ses propres melons est que le délai entre la récolte et la consommation est réduit. La cueillette, en outre, peut se faire à la maturité idéale, lorsque le fruit dégage un agréable parfum.
Valériane, le plus grand salon bio de Belgique, reprend bientôt ses quartiers à Namur Expo, pour une 38ème édition placée sous le signe de l’autonomie.
Dans la nature, les liserons, les prêles et le chiendent sont concurrencés par toutes les autres espèces présentes autour d’eux. Dans notre potager, la seule concurrence des légumes peut ne pas suffire pour limiter leur extension, surtout au début de la culture. Avec la météo particulière de cette année 2023, plusieurs périodes ont été favorables à leur extension…
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