Cepicop - actualités - céréales: il est trop tôt pour remiser le pulvérisateur

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Je m'abonneÀ Dongelberg, Olivier De Backer a investi dans un drone agricole en vue de proposer un nouveau service à ses clients, allant du survol et de l’analyse de leurs parcelles à l’application modulée d’azote en fonction des besoins des cultures. Divers événements l’ont cependant conduit à stopper temporairement cette activité, après deux saisons sans encombre et 500 ha survolés. Il n’abandonne pour autant pas son projet, convaincu que la demande pour ce type de prestation grandira dans les années à venir.
Moins 12 %, telle est la baisse de la production céréalière dans notre pays, par rapport à l’an dernier, indique la fédération des grains Fegra.
Les équipes du Livre Blanc des céréales fixent rendez-vous aux agriculteurs pour une présentation inédite « à distance » ce jeudi 10 septembre à 19h30.
Des semis plus tardifs que d’ordinaire, beaucoup de pucerons en automne, un déficit hydrique, un manque de tallage, une forte insolation, une faible pression parasitaire… Au final, des rendements très variables selon les conditions pédo-climatiques.
Moins 15 %, telle est la baisse de la production céréalière dans notre pays, par rapport à l’an dernier, selon la fédération des grains, Fegra qui compte notamment Synagra dans ses rangs.
Comme rien n’échappe à la Covid-19, la présentation du Livre Blanc des céréales se fera exceptionnellement en ligne, le jeudi 10 septembre.
Agritel n’a pas hésité à ranger, le 27 juillet, la récolte de blé tendre en France parmi les plus modestes de ces vingt-cinq dernières années.
Après un coup d’œil sur les essais menés par le Centre pilote céréales, oléagineux et protéagineux sur les colzas, pois, féveroles et autres espèces (voir notre édition du 25 juin), place ici à l’expérimentation réalisée sur les céréales. Aux commentaires – à distance, Covid-19 oblige : Rémi Meurs et Rémy Blanchard.
Chez Walagri, le transport fluvial des marchandises occupe une place importante dans la chaîne logistique. C’est pourquoi le groupe a investi dans la construction d’un nouveau site portuaire, à Pecq. Il se compose d’un hall de 4.000 m² destiné au stockage des engrais et d’un silo à céréales d’une capacité de 11.000 t.
L’attention des producteurs est attirée sur le fait qu’un stockage des céréales dans un hangar ayant contenu des pommes de terre traitées au CIPC n’est pas approprié !