Premières estimations de production céréalière pour 2023

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementPlus de 14 millions de tonnes de céréales ont pu être exportées jusqu’à présent depuis les ports ukrainiens grâce à l’Initiative de la mer Noire, a indiqué une haute responsable de l’ONU en charge des discussions.
Dans le dernier Bulletin sur l’offre et la demande de céréales, publié le 2 décembre, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) a, une nouvelle fois, revu à la baisse ses prévisions concernant la production mondiale de céréales en 2022, qui sont à présent de 2.756 millions de tonnes, soit une baisse de 2 % par rapport à 2021.
Le Conseil international des céréales vient de mettre à jour ses prévisions concernant la campagne 2022/2023. Il en ressort principalement que les céréales voient tant leur production que leurs échanges et stocks reculer.
Fegra et Bfa, les fédérations belges du négoce en grains et de l'alimentation animale, ont à nouveau effectué cette année un suivi ciblé afin de déterminer la présence de mycotoxines dans le maïs après la récolte (à titre d'alerte précoce ou «Early warning»).
Les populations de pucerons se sont bien développées durant le mois d’octobre particulièrement chaud que nous venons de connaître. La majorité des parcelles d’escourgeon (emblavées avec des variétés sensibles à la JNO) a déjà été traitée avec un insecticide. Pour rappel, le seuil de nuisibilité est de 10 % de plantes présentant au moins un puceron.
Dans la dernière édition de son Bulletin sur l’offre et la demande de céréales, parue début novembre, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) a revu à la baisse ses prévisions concernant la production mondiale de céréales en 2022, laquelle s’établirait à 2.764 millions de tonnes (Mt), en baisse de 1,8 % par rapport à 2021.
Les conditions « printanières » sont favorables aux pucerons et doivent inciter à la vigilance.
Sans surprise, la sécheresse qui s’est abattue cet été sur le Vieux Continent a eu de lourdes conséquences sur les productions végétales européennes. Blé, maïs, soja ou encore betteraves figurent parmi les victimes de cet épisode. Cela ne sera pas sans impact sur les échanges commerciaux.
Le stade de développement des escourgeons est fort variable d’un champ à l’autre en fonction de la date de semis. Aidées par la douceur exceptionnelle de ces derniers jours, les parcelles les plus avancées ont maintenant atteint le stade tallage.
La douceur exceptionnelle des températures en octobre permet au colza d’hiver de bien se développer et de rattraper son retard du départ.
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