De l’autorisation à la pratique, le secteur agricole pèse sur les décisions

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Voir l'offre d'abonnementSi la gestion des repousses de pomme de terre dans les autres cultures est d’une grande importance vis-à-vis du mildiou, elle l’est tout autant dans la lutte contre les doryphores.
La cotation Belgapom de ce vendredi 23 juin pour les pommes de terre de variété Bintje s’établit à 25,00 €/100kg (TVA excl.) ou 26,50 €/100kg (TVA incl.). Belgapom évoque un marché calme sur lequel l’offre est supérieure ou égale à la demande.
Mieux vaut prévenir que guérir est un adage connu de tous les producteurs de poireaux. La prévention se décline dans le choix variétal, le choix de la parcelle quand il est possible de choisir, la structure du sol et le drainage. Ces démarches permettent de prévenir pas mal d’ennuis, mais demeurent quelques maladies et ravageurs que nous passons en revue.
L’équipe du projet WatchITgrow (Cra-w, Ulg, Vito et Belgapom) organise deux sessions de formation à l’utilisation de la plateforme en ligne WatchITgrow en présence des agronomes de la Fiwap.
Si les tas d’écart de triage sont des sources potentielles de contamination primaire du mildiou, veillons également à éliminer les repousses qui sont aussi un relais pour l’ennemi numéro de la culture!
Si le manque d’eau se poursuit au cours des prochaines semaines, la situation pourrait devenir inquiétante pour plusieurs secteurs d’activité, comme ce fut le cas en 1976, note l’Institut royal météorologique. L’agriculture est au premier plan de ceux-ci. Alors, faut-il s’alarmer ?
La cotation Belgapom de ce vendredi 9 juin pour les pommes de terre de variété Bintje s’établit à 25,00 €/100kg (TVA excl.) ou 26,50 €/100kg (TVA incl.). Belgapom évoque un marché calme sur lequel l’offre est supérieure ou égale à la demande.
Ce que peuvent craindre les plantes de froment au stade actuel de la floraison, c’est la fusariose et le risque de contamination par des mycotoxines. Rien à craindre par contre du côté des ravageurs.
Les mois de mars, avril et mai 2017 ont été particulièrement secs en Belgique, avec des précipitations totales bien en deçà des valeurs normales. Cette sécheresse, qui vient s’ajouter aux faibles cumuls observés depuis juillet dernier, est « préoccupante », juge l’Institut royal météorologique (IRM).
La province de Liège regroupe ses sites de Liège (institut Ernest Malvoz) et de Tinlot (station d’analyses agricoles) au sein d’une même structure dénommée le Laboratoire de la Province de Liège, tout en intégrant le service d’analyse des milieux intérieurs (SAMI).
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