Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementLe parlement de Wallonie a engagé mercredi la Région sur le chemin d’une interdiction de l’utilisation des pesticides contenant des néonicotinoïdes – une famille d’insecticides particulièrement incriminés dans la surmortalité des abeilles et autres pollinisateurs –, tout en tenant compte des réalités agricoles.
Les États membres de l’Union européenne n’ont pas pris de décision sur le sort du glyphosate, mercredi, cet herbicide controversé dont la licence expire en décembre. La Commission européenne doit désormais étudier le point de vue des différents pays.
Le taux de glyphosate, une substance chimique controversée présente dans certains herbicides, a nettement augmenté en près d’un quart de siècle dans l’organisme d’une population témoin de Californie, indique une étude publiée mardi dans le Journal of the American Medical Association (JAMA). Cette hausse date de l’apparition des premières cultures génétiquement modifiées aux États-Unis, en 1994, sur lesquelles l’herbicide RoundUp pouvait être utilisé.
La Belgique votera contre la prolongation de l’autorisation du glyphosate pour 10 ans, voire 7 ans, a annoncé mercredi le ministre fédéral de l’Agriculture, Denis Ducarme. Elle souhaite s’inscrire dans le cadre de la résolution du parlement européen et renouveler l’autorisation pour une durée maximale de 5 ans, incluant un « phasing-out » de l’utilisation de ce produit.
L’ONG environnementale Greenpeace a fait entendre lundi à Bruxelles la voix des 1,3 million de signataires d’une pétition demandant l’interdiction du glyphosate, un herbicide largement répandu accusé par certains d’être cancérigène, en rencontrant deux commissaires européens.
La Commission européenne maintient son intention de mettre au vote, le mercredi 25 octobre, sa proposition de renouvellement du glyphosate pour 10 ans, malgré la forte probabilité qu’elle n’obtienne pas la majorité nécessaire. Mais elle serait disposée à discuter une période d’autorisation plus courte.
La culture du chou de Bruxelles partage de nombreux points communs avec celle des choux pommés (voir le Sillon Belge du 12 mai dernier). On notera toutefois une plantation à plus forte densité pour éviter l’obtention de pommes trop grosses mais aussi pour homogénéiser leur taille sur l’axe et faciliter la récolte unique.
Des scientifiques américains ont réussi à modifier génétiquement du maïs pour qu’il produise un acide aminé contenu dans la viande, ce qui pourrait augmenter sa valeur nutritive.
La deuxième semaine d’octobre n’a pas été idéale pour la maturation des épis… avant le gros coup de chaud du week-end dernier!
La Fiwap recommande de bien veiller à l’homogénéisation de la température au sein des stockages !
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement