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Voir l'offre d'abonnementLa mise en valeur des tolérances et résistances variétales est absolument impérative dans le contexte actuel de forte pression sur les produits de protection des plantes, de changement climatique avec un risque parasitaire accru. Et cela représente aussi un intérêt économique.
Riche notamment d’insectes et autres organismes utiles à la protection des plantes, la biodiversité présente dans les parcelles de grandes cultures est directement du ressort de l’agriculteur. Lui et lui-seul, par ses choix culturaux adaptés, est en mesure d’alléger la protection phyto de ses récoltes en devenir. Un message délivré, ce lundi, lors l’assemblée générale de l’Appo.
Les épandages de fertilisants minéraux ont pu commencé ce 1er février dans les prairies et ce sera le cas dès le 16 février pour les cultures. Pour aider les agriculteurs à raisonner au mieux leurs fertilisations, Protect’eau propose deux types de services.
Sur la base des résultats d’essais menés en 2016 et 2017, treize variétés de betteraves sucrières ont été admises au catalogue national des variétés d’espèces de plantes agricoles.
Les résultats de la dernière enquête du Copa et de la Cogeca, qui porte sur le troisième trimestre 2017, montrent que les agriculteurs sont préoccupés par leurs perspectives économiques futures, notamment en conséquence de l’évolution des marchés mondiaux et du commerce.
À la suite des inquiétudes concernant le processus européen d’évaluation des produits phyto apparues à l’occasion du débat sur le renouvellement de l’autorisation de mise sur le marché du glyphosate, le Parlement européen a décidé de créer une commission spéciale dont la mission sera d’évaluer la procédure d’autorisation des pesticides dans l’UE, notamment les conflits d’intérêts éventuels.
Des prélèvements ont été réalisés dans les stockages en décembre et janvier par le Carah et la Fiwap.
La réprobation du cuivre à l’échelle européenne peut être soumise au vote des États membres de l’UE d’ici le mois de juin. En France, l’Institut national de recherches agronomiques – Inra – et l’Institut technique de l’agriculture biologique – Itab – viennent de confirmer les difficultés de se passer totalement de cuivre sur les cultures bio à court terme.
Le Parlement européen a enfin adopté sa position sur la révision de la directive Energies renouvelables qui prévoit le maintien à 7% du plafond sur les biocarburants de 1ère génération.
Tous secteurs confondus, l’équipement pour l’agriculture, l’élevage et les espaces verts a vu ses ventes reculer en moyenne d’un tiers au cours de ces dix dernières années. Étroitement liée à l’érosion de la population agricole, cette situation ne laisse pas d’inquiéter la fédération concernée. Tirant la sonnette d’alarme, Fedagrim a interpellé les politiques en lançant son pacte agricole en 10 propositions relayé récemment dans nos colonnes. L’analyse économique de ces deux dernières années confirme cette inquiétude.
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