La louve Maxima de la meute des Hautes Fagnes est morte

Recevez Le Sillon Belge chaque semaine chez vous et bénéficiez d'un accès à tout le site : Articles, météo et cotations des marchés agricoles
Voir l'offre d'abonnementEn Europe, la proximité entre le Ramadan et Pâques a permis de soutenir la demande de viande. Même si les abattages ont diminué, les prix sont ainsi restés stables, et ont même augmenté dans certains pays, pour les différentes catégories de bovins. Pour les vaches réformées, là aussi le marché se maintient, alors qu’on assiste à une diminution du cheptel dans l’Union et à une faiblesse de l’offre.
À partir du samedi 6 avril, le confinement des volailles et des oiseaux ne sera plus obligatoire pour les détenteurs professionnels et les détenteurs enregistrés d’animaux à titre de hobby. Une décision prise suite à l’évolution favorable de la grippe aviaire ces derniers mois. Ainsi, en 2024, aucune infection n’a été détectée ni dans les élevages commerciaux, ni chez les détenteurs particuliers. La circulation du virus chez les oiseaux sauvages a également diminué de manière significative.
Le mois de mars rimait avec les « Rendez-vous de l’Arsia ». L’opportunité pour cette association d’aller à la rencontre des agriculteurs pour parler des « Actualités sanitaires et de l’accompagnement pour un cheptel au top ! ». Au programme ? Chiffres du secteur, portail Cerise, sans oublier les maladies émergentes. Mais une question brûlait les lèvres de tous les éleveurs : qu’en est-il de la problématique IBR ? Une maladie qui inquiète, questionne, et fâche aussi ceux dont le troupeau a été réinfecté.
Une personne a été testée positive à la grippe aviaire après avoir été infectée par une vache laitière au Texas, ont annoncé les autorités américaines lundi, alors que l’inquiétude grandit autour du virus.
C’est un chantier exceptionnel de débardage au cheval qui s’est tenu ce 20 mars, à la forêt de Soignes, en région bruxelloise.
Contrairement à une idée répandue, la majorité de la viande d’agneau consommée en Belgique durant la période de Pâques est importée, représentant jusqu’à 86 % de la consommation. Mais le secteur bouge et se professionnalise pour produire davantage et améliorer le taux d’autosuffisance.
Depuis 2007, la Belgique s’est engagée activement dans la lutte contre la Rhinotrachéite Infectieuse Bovine (IBR), avec comme objectif l’obtention du statut indemne pour l’ensemble de son cheptel bovin d’ici 2027.
En tant que premier maillon de la chaîne, l’agriculteur est confronté à la notion de biosécurité dans son quotidien. Parfois perçue comme un investissement peu rentable ou une contrainte par certains, elle est basée sur des pratiques simples et de bon sens pour d’autres. Deux éleveurs, l’un wallon, l’autre français, ont éclairé cette notion de leur expérience lors du récent symposium organisé par la Fesass à Bruxelles.
Au matin ou avant d’aller se coucher, en fromage ou en yaourt, le lait reste un produit star de notre alimentation. Et bonne nouvelle pour le secteur, cet aliment a toujours la cote dans les ménages wallons. Des consommateurs avec une bonne image de l’élevage laitier, mais qui ont à cœur d’opter pour des produits durables, correspondant à leurs valeurs environnementales.
L’organisation mondiale de la santé animale a approuvé l’auto-déclaration de la Belgique concernant le statut de pays indemne de l’influenza aviaire hautement pathogène chez les volailles.
Abonnez-vous à Le Sillon Belge
Voir l’offre d’abonnement