Equipements

Plus de 17.000 agriculteurs, 1.200 entrepreneurs et 300 horticulteurs belges sont actuellement certifiés pour le Standard Vegaplan. Tous devront travailler sur base d’une nouvelle version de leurs Standards respectifs dès le 3 juillet prochain.

La météo de ces dernières semaines, particulièrement humide, a fortement retardé les travaux printaniers. Dans ce contexte, les semis et plantations battent actuellement leur plein mais les entrepreneurs ne pourront être partout à la fois… Planification et concertation sont donc les maîtres mots de ce printemps.

Ce n’est pas une Miura, ni une Countach, ni une 350 GT qui va passer sous le marteau en mai prochain. Mais c’est bien un modèle Lamborghini, qui a une place spéciale dans l’histoire.

Voici les lieux et dates d’organisation du contrôle des pulvérisateurs agricoles pour ce mois de mai.

Les montants des contributions environnementales applicables aux pneumatiques ont été revus à la hausse, avec un impact de plusieurs dizaines d’euros sur la facture.

Neuf ans après la fermeture de l’usine Ford à Genk (2014), de nouveaux véhicules vont à nouveau être fabriqués sur le site (Mondeolaan). À l’automne, Rhenus Automotive commencera en effet à y assembler des véhicules agricoles de l’entreprise américaine John Deere, ont rapporté les journaux Mediahuis.

Partout en Belgique, un nombre croissant d’agriculteurs s’équipe de stations agrométéorologiques connectées. Contrôle de la pluviométrie, mesure de la température ambiante, suivi du vent… Les paramètres mesurés constituent de précieuses aides à la décision. À conditions toutefois d’installer judicieusement l’appareillage et de veiller à son bon état de fonctionnement. C’est ce que nous explique en détail Arnaud Verlinden, de l’asbl Waldigifarm.

Voici les lieux et dates d’organisation du contrôle des pulvérisateurs agricoles pour ce mois d’avril.

Lorsqu’une pompe d’injection potentiellement défectueuse arrive dans les ateliers de Claes Revisie, elle passe entre les mains de techniciens aux connaissances pointues. Un nettoyage et plusieurs tests permettent d’identifier les éventuels dommages en vue d’effectuer, le cas échéant, les réparations qui s’imposent. Après révision, un nouveau passage au banc de test permettra de s’assurer que l’organe est à nouveau opérationnel, prêt à retourner sous le capot de l’engin auquel il appartient.

Le contrôle obligatoire des pulvérisateurs a presque 30 ans et un nouveau cycle de contrôle (le 10ème) démarre en 2023. Celui-ci a pour objectifs d’améliorer l’état de fonctionnement des pulvérisateurs, limiter les contraintes liées à l’inspection (déplacement, durée du test, coût), effectuer un contrôle objectif et identique sur l’ensemble du territoire, réaliser des mesures précises et reproductibles, fournir à l’utilisateur des informations claires et indiscutables concernant les réparations à effectuer sur son pulvérisateur et, enfin, disposer d’un contrôle financièrement autoportant.