La recette de la semaine: buffet frites et fantaisie

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Voir l'offre d'abonnementLe samedi 21 juin, un premier foyer de dermatose nodulaire contagieuse a été confirmé en Italie, dans un élevage de bovins en Sardaigne. Quatre jours plus tard, grâce à l’enquête épidémiologique, un bovin acheté dans le foyer initial a été testé positif en Lombardie, à quelque 700 km de son point de départ. Puis, quatre jours après, le 29 juin, un foyer a été détecté en France, dans une exploitation laitière de Savoie.
La résistance aux antibiotiques chez les animaux producteurs de denrées alimentaires a diminué l’an dernier. Le nombre d’exploitations à usage élevé est, lui aussi, en recul. Ces résultats encourageants marquent la fin d’un cycle d’activités mené dans le cadre de la « Vision 2024 » de l’Amcra, de la deuxième Convention antibiotiques et du premier Plan d’action national One Health contre les résistances aux antimicrobiens. Par ailleurs, des chiffres sont également connus sur l’utilisation de ces traitements chez les bovins laitiers et viandeux, les dindes et toutes les catégories de la filière poulets de chair et poules pondeuses.
Nous sommes en plein dans la période de semis des haricots. « Haricots semés à la Saint Didier, le 23 mai, des haricots plein le panier » dit le dicton français. « Sème tes haricots à la Sainte Pétronille, le 31 mai », entend-on de la bouche des jardiniers chevronnés en Belgique. Finalement, l’idéal est d’avoir un sol de minimum de 15°C, et même mieux, à 18°C pour que la levée soit rapide et homogène.
L’été est bien installé... Voici venu le temps des sorbets et crèmes glacées.
Les produits laitiers ont bel et bien toujours leur place dans nos frigos. L’année dernière pas moins de 72 % des Belges en ont consommé quotidiennement. À l’échelle mondiale, aussi, la demande continue de croître. Pourtant, la filière se trouve à un moment charnière. En effet, la marge nette de l’industrie laitière reste faible, ce qui la place sous pression économique. De plus, de nombreuses incertitudes belges et internationales pèsent sur le secteur.
Le prix des pommes de terre sur le marché libre est descendu à 50 €/t, son niveau le plus bas depuis plusieurs années, selon des chiffres de l'organisation sectorielle Belgapom.
Le Carah et le Centre wallon de recherches agronomiques ont débuté leur comptage de pucerons la semaine dernière et ce, au sein de onze parcelles de pommes de terre situées à Antoing, Chapelle-à-Oie, Estinnes, Genappe, Les Bons Villers, Liberchies, Pont-à-Celles, Soheit – Tinlot, Sombreffe, Wanze et Willemeau.
A l'initiative d'associations agricoles, une trentaine de personnes ont manifesté mercredi devant le siège du Bureau économique de la Province de Namur (BEP) à Salzinnes (Namur). Elles s'opposent à l'extension du zoning de Mariembourg au détriment de l'agriculture locale.
Comme dans les parcelles de betteraves ou pommes de terre, les pucerons ont fini par s’installer dans les champs de maïs. Les populations demeurent toutefois sous les seuils d’intervention.
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