Economie

L’insécurité alimentaire aiguë a encore progressé en 2020 sous l’effet des conflits, des crises économiques exacerbées par la pandémie de Covid-19 et des événements climatiques, avertit le Réseau mondial contre les crises alimentaires qui s’attend à une année 2021 « difficile ».

La Fédération wallonne de l’agriculture (Fwa) a manifesté mercredi à Namur. Avec le soutien de l’Union wallonne des agricultrices (Uaw) et la Fédération des jeunes agriculteurs (Fja), elle réclame des mesures rapides pour préserver l’agriculture familiale

Les ministres de l’Agriculture semblent disposés à porter la part des paiements directs à consacrer aux éco-régimes dans le cadre de la future pac à 25 % d’ici 2025. Mais d’autres dossiers restent à régler : la conditionnalité des aides, leur ciblage vers les plus petites exploitations ou encore le statut d’agriculteur actif.

La semaine dernière, un accord a été conclu entre le SPF finances et les organisations professionnelles représentatives du secteur concernant les barèmes forfaitaires pour les revenus 2020. Voici les modifications établies.

Pour le Gouvernement wallon, l’accord UE-Mercosur est, en l’état, totalement inacceptable. Il est d’ailleurs bien déterminé à faire entendre sa position aux niveaux belge et européen. Plusieurs États membres partagent d’ailleurs les préoccupations exprimées par la Wallonie.

Une certification Vegaplan supplémentaire sera mise en place dans les semaines à venir et cible les agriculteurs dont les productions végétales sont destinées à la restauration collective française.

La crise de la peste porcine africaine, d’une part, et les mesures prises pour éviter la propagation du Covid-19, d’autre part, ont entraîné une dégringolade des prix de vente dans le secteur porcin. Face à ce constat, la Wallonie débloque un budget de 5,5 millions pour accorder aux éleveurs une indemnité de 530 € par truie.

Les négociateurs du Parlement européen et du Conseil sont tombés d’accord dans la nuit du 20 au 21 avril sur la future législation de l’Union européenne sur le climat.

Menacée par le réchauffement climatique, la pérennisation de l’arabica pourrait trouver un appui auprès d’une espèce de café sauvage plus résiliente.

Pression sur la biodiversité, pertes économiques agricoles et forestières, nuisance à la santé publique. Des scientifiques d’institutions françaises viennent de livrer l’estimation la plus complète des coûts engendrés par les espèces envahissantes : près de 1.300 milliards de dollars en l’espace de 40 ans. L’augmentation annuelle de ces coûts, encore très largement sous-estimés, ne montre aucun signe de ralentissement. Au contraire, elle ne cesse de progresser depuis quelques décennies.