L’agriculture d’aujourd’hui et de demain en débat à la fête des moissons, à l’abbaye de Bonne Espérance

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Voir l'offre d'abonnementLe Carah organisait, le 23 juin, la visite de ses champs d’essais mis en place à Ath. Un focus y a été fait sur le renouvellement variétal de même que sur la protection fongicide des escourgeons et froments. L’occasion d’épingler les particularités de la saison en cours mais aussi de tirer quelques enseignements pour celles à venir.
Le Groupe des producteurs de pommes de terre du Nord-ouest européen (NEPG) fait le point sur l’ancienne récolte de pommes de terre mais aussi et surtout sur la nouvelle récolte et les prévisions de production. Les emblavements 2023 et contrats s’y référant sont aussi envisagés avec quelques inquiétudes par rapport aux coûts de production et les conséquences de la réforme de la PAC.
Il y a peu, la Raffinerie Tirlemontoise informait ses planteurs des perspectives de prix pour les betteraves en contrat de 2022 et 2023. Selon l’entreprise et son directeur des matières premières, Erwin Boonen, « la crise du marché est derrière nous et on peut regarder vers l’avant et prévoir plus d’emblavement pour 2023 ».
La Fiwap organise 4 coins de champs les mercredi 13, jeudi 14, vendredi 15 et lundi 18 juillet, en collaboration avec des producteurs Fiwap, le Cra-w, le Carah ainsi que différentes institutions ou firmes…
2021 sonne comme le retour vers la vie d’avant pandémie pour l’Afsca qui a repris son travail normalement après plusieurs mois de perturbations. Au niveau agricole, celle-ci s’est notamment attardée sur la levée des embargos sur les produits porcins, le retour du virus hautement pathogène de la grippe aviaire ou encore le Brexit et ce, aux côtés de ses missions habituelles.
À l’occasion de son Assemblée générale annuelle, Vegaplan a livré les derniers chiffres relatifs à la certification du même nom. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle poursuit son avancée dans le monde agricole.
Une ferme de culture et d’élevage peut diversifier ses activités en produisant des cultures maraîchères. La décision dépend d’abord de l’intérêt pour ce genre de travail de la part des fermiers. La production et la commercialisation demandent plus de main-d’œuvre, c’est très important de s’en préoccuper avant de se lancer. Nous avons déjà eu l’occasion de nous pencher sur ces aspects, notamment dans le SB du 23 décembre dernier.
Ruissellement et érosion constituent un problème majeur en zone agricole et ce, d’autant que le sol constitue le capital principal des fermes. Ces pourquoi le projet Intell’eau entend étudier et tester des pratiques permettant de limiter ces phénomènes en vue, in fine, d’aider les agriculteurs à mettre en place les mesures les plus adaptées à leur situation.
L’asbl Regenacterre dévoile sa marque de certification « Agriculture Régénérative », marque B to B, qui permettra aux transformateurs d’être approvisionnés en produits issus de cette agriculture tout en en informant ses fournisseurs. Les clés de nouvelles filières favorisant l’émergence et l’accompagnement de la transition agroécologique sont réunies.
Sous peu, certains patatiers commenceront à pulvériser contre les doryphores. Néanmoins, n’oublions pas que la pomme de terre est programmée pour pouvoir perdre jusqu’à 25 % de ses feuilles (maladies foliaires, dégâts de grêle, brûlures d’ozone, dégâts de limaces ou de doryphores…) sans effet sur le rendement.
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